L’agriculture productiviste a atteint les limites d’une logique mortifère faite de pressions sur les terres et les ressources, aggravant les inégalités, augmentant les conflits ruraux, détruisant les écosystèmes, excluant des paysans des « bénéfices » de la mondialisation et contribuant de façon importante au changement climatique.
L’agroécologie est-elle une alternative crédible à l’agriculture productiviste ?