Après deux mois agités en juin et juillet, le Kenya a vécu une accalmie en août. Mais les griefs de la génération Z, qui est à l’origine de la révolte et qui réclame une gouvernance plus équitable et plus transparente, sont toujours très vivaces. La jeunesse kényane n’est pas dupe après les réponses cosmétiques apportées par le président Ruto, et le feu couve toujours.