Ce dossier en espagnol a été coordonné et rédigé par le collectif Canasta Solidaria Mikhuna Kachun. Rassemblant des témoignages de différents acteurs de la société civile cusquénienne, il développe les analyses et initiatives pour construire une souverainté alimentaire en renouant avec les savoirs et pratiques ancestrales.
Justin Trudeau révolutionne l’histoire mouvementée des relations fédérales avec les peuples autochtones en lançant l’enquête nationale sur les femmes autochtones disparues et assassinées. Si le douloureux chemin vers la réconciliation semble amorcé, saura-t-il intégrer les avis, témoignages, projets et initiatives développés par les autochtones eux-mêmes, seule garantie d’un changement permanent et radical ?
Pour éviter le sectarisme et la discrimination, nous devons connaître le spectre humain des expériences de la diversité des genres, hier et aujourd’hui.
Cet article a été écrit par une femme transgenre étasunienne en réaction à un article sur la communauté transgenre du Cachemire sous administration indienne.
In the conflict-torn state of Manipur, where children have grown up amid the violence and terror of the Indian state and non-state actors, The Imphal Talkies N The Howlers, a folk-rock band, has been raising their voice against state atrocities, asserting their ethnic identity and searching for peace.
Dans la Moskitia hondurienne, les autochtones ont depuis longtemps été la cible de violences et d’injustices dans le cadre de la lutte du gouvernement contre le trafic de drogue.
Dans l’État du Manipur, déchiré par les conflits, où les enfants grandissent dans un climat de violence et de terreur instauré par l’État indien et des éléments non étatiques, un groupe de folk-rock du nom d’Imphal Talkies and the Howlers dénonce les atrocités commises par l’État, défend son identité ethnique et milite pour la paix. Geetanjali Gurlhosur relate le parcours et l’évolution au fil des ans de ce qui était à l’origine un simple groupe de solidarité étudiante à Delhi.
Par ce communiqué, le Conseil indigéniste missionnaire dénonce la stratégie récurrente de Bolsonaro de piétiner les droits territoriaux autochtones et les droits de la nature au Brésil pour faire avancer ses projets d’agronégoce.
2 400 hectares, c’est la taille de la traînée de destruction laissée par l’exploitation aurifère illégale en Terre Indigène Yanomami (TIY), située à l’extrême Nord du Brésil entre les États de Roraima et d’Amazonas. Les activités illégales prolifèrent, se rapprochant toujours plus des communautés autochtones et mettant en danger les groupes isolés. Telle est la conclusion d’un rapport inédit publié par l’Association Yanomami Hutukara (HAY) et l’Association Ye’kwana Wanasseduume (Seduume) qui représentent les peuples autochtones de ce territoire.
L’échec des approches rentables fondées sur les lois du marché en vue d’atténuer le changement climatique a largement démontré que les peuples autochtones détiennent bon nombre de réponses. Il est indispensable de tirer des leçons de l’engagement de la Birmanie vers une nouvelle transition.
À la suite d’une fuite importante sur un site de la Marine qui a contaminé l’approvisionnement en eau d’O’ahu, les défenseur·ses de l’eau ont trouvé des allié·es improbables parmi les familles de militaires scandalisées.
Le troisième référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie a abouti à une nouvelle victoire du non, dans un scrutin boycotté par les indépendantistes. Dans la vie de tous les jours, les discriminations à l’encontre des Kanak, représentent aujourd’hui quelque 40 % des habitants, persistent.