Un point de vue féministe sur les communs révèle que l’accumulation s’oppose aux principes de base du partage et de la durabilité : bénéficier de l’abondance de la nature se fait en s’assurant que les besoins (et non les désirs ou la cupidité) définissent l’étendue de l’extraction. Pour que les communs existent, les besoins doivent être guidés par l’abondance et non pas par la rareté.
