L’apparition et la recrudescence de certaines maladies, surtout dans les pays pauvres, avèrent les persistances des menaces sur la sécurité sanitaire mondiale avec des risques d’épidémies voire de pandémies ravageuses et dévastatrices.
La présidence de Trump aura un effet catastrophique sur la santé et les droits sexuels et reproductifs sur le continent africain. En pratique, cela signifie que les Africaines peuvent s’attendre à voir augmenter le nombre de décès et de blessures dus à des avortements pratiqués dans des conditions dangereuses, ainsi que des lois et des politiques similaires mises en œuvre dans leurs pays en raison de l’agenda populiste de leurs dirigeants politiques.
Alors que les infrastructures et la prise en charge en matière de santé restent déficientes dans le monde arabe, la santé mentale, comme partout ailleurs, reste le parent pauvre de la médecine. S’il existe des pathologies psychiatriques dont l’origine neurobiologique et neurodéveloppementale est bien établie, de nombreux problèmes d’ordre psychologique ou psychiatrique sont causés par des déterminants familiaux, sociaux, économiques et politiques.
Les systèmes de santé sont avant tout des systèmes sociaux. Or, depuis plusieurs décennies, en de nombreux lieux de la planète, ce sont les idées néolibérales qui ont le vent en poupe et qui ont inspiré les réformes des systèmes de santé.
Selon l’OMS, des millions de personnes sont touchées chaque année par des infections associées aux soins (IAS). Au Laos, la réduction de ces risques dans les hôpitaux fait partie des priorités du ministère de la Santé. Pour améliorer la prévention et le contrôle des infections (PCI), une stratégie nationale dans ce domaine a été élaborée et est accompagnée dans sa réalisation par plusieurs partenaires tels que l’OMS, l’agence de coopération luxembourgeoise LuxDev et Aide Odontologique Internationale (AOI).
Selon les membres de l’Association progressive pour la Communication (APC), dont le siège se trouve en Afrique, la réponse de la communauté internationale après la découverte du variant Omicron a révélé le phénomène de discrimination continue dont est victime le continent.