L’apparition et la recrudescence de certaines maladies, surtout dans les pays pauvres, avèrent les persistances des menaces sur la sécurité sanitaire mondiale avec des risques d’épidémies voire de pandémies ravageuses et dévastatrices.
Selon l’OMS, des millions de personnes sont touchées chaque année par des infections associées aux soins (IAS). Au Laos, la réduction de ces risques dans les hôpitaux fait partie des priorités du ministère de la Santé. Pour améliorer la prévention et le contrôle des infections (PCI), une stratégie nationale dans ce domaine a été élaborée et est accompagnée dans sa réalisation par plusieurs partenaires tels que l’OMS, l’agence de coopération luxembourgeoise LuxDev et Aide Odontologique Internationale (AOI).
Selon les membres de l’Association progressive pour la Communication (APC), dont le siège se trouve en Afrique, la réponse de la communauté internationale après la découverte du variant Omicron a révélé le phénomène de discrimination continue dont est victime le continent.
La méfiance vis-à-vis des politiques de lutte contre le COVID-19 grandit en Europe. La politique traditionnelle réagit par le paternalisme et la répression : pourtout, ce n’est pas de cette manière que l’on obtient un soutien au sein de la population. Pour cela, il faudrait, au minimum, écouter les craintes et les préoccupations des personnes non vaccinées. La comparaison avec Cuba est intéressante.
Avec plus de 2,8 millions de cas confirmés et 50 341 morts de la Covid-19, les Philippines sont un des pays les plus touchés de l’Asie du Sud-Est. Cependant, malgré sa situation dramatique, le pays a été contraint d’attendre les vaccins des pays riches et producteurs du vaccin ; et désinformation sur le vaccin, les informations erronées sur la Covid-19 et le manque de connaissances sur le sujet ralentissent les campagnes de vaccinations.
À Madagascar, cinquième plus grande île du monde, la prévalence des affections bucco-dentaires est élevée. Ces pathologies ont un impact sur les individus et les communautés en termes de douleur, de pertes fonctionnelles, de coûts et plus généralement de qualité de vie.
Pour éviter que les populations vulnérables ne soient oubliées et encore plus durement touchées lors des crises sanitaires, Aide et Action a développé une initiative pertinente au Cambodge, pendant la pandémie de Covid-19.
Cette synthèse inédite fait état d’un fort risque de banalisation des mesures d’exception et, à l’instar de l’état d’urgence anti-terroriste, de leur pérennisation dans le droit commun. Ce rapport s’appuie sur les travaux et prises de position des membres du Réseau de veille sur l’état d’urgence sanitaire, animé par VoxPublic.
En 2018, la Tunisie aurait importé plus de 240 tonnes de pesticides à usage agricole bannis ou bien sévèrement restreints dans l’Union européenne. Ce commerce toxique représenterait plus d’un tiers des revenus des cinq plus grands fabricants de pesticides au monde. À partir d’une base de données établie par les organisations Greenpeace UK et Public Eye, inkyfada fait le point.