L’apparition et la recrudescence de certaines maladies, surtout dans les pays pauvres, avèrent les persistances des menaces sur la sécurité sanitaire mondiale avec des risques d’épidémies voire de pandémies ravageuses et dévastatrices.
Dans la nuit du samedi 17 avril, un groupe d’environ 35 néonazis a attaqué un campement de proches de personnes privées de liberté qui luttent devant les portes de la Cour Suprême de Justice depuis le mois de février, afin de dénoncer la situation de vulnérabilité sanitaire et la violation des droits humains fondamentaux dans les prisons et commissariats d’Argentine.
Les restrictions de voyage, les déplacements compliqués ainsi que les coûts supplémentaires engendrés par la pandémie ont accru les difficultés d’accès à l’avortement en Pologne, Roumanie et Hongrie, des pays déjà très restrictifs quant à l’accès à ce droit.
Cet article propose un aperçu mondial des effets de la pandémie de COVID-19 et des politiques mises en place, et les différentes options d’une reprise juste et équitable. Quel a été l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les peuples, les communautés et les partenaires avec qui travaillent les Amis de la Terre ? Comment les mesures gouvernementales ont-elles aidé nos communautés ou nui à celles-ci ? Qu’avons-nous fait pour faire face à cela ?
Dans le Sud des États-Unis, les militant·es espèrent une victoire précieuse pour la justice environnementale dans le couloir industriel qui longe le Mississippi, connu sous le nom de « L’Allée du Cancer » en raison de sa concentration de nombreux pollueurs. Mais le combat n’est pas encore terminé.
Avant l’arrivée de la pandémie de Covid-19, les droits des réfugié·es étaient déjà bafoués et face à des problèmes déjà graves, les conséquences de la pandémie étaient malheureusement prévisibles. De nombreux·ses réfugié·es vivent dans les logements insalubres et surpeuplés des camps, dans des bidonvilles et des zones urbaines. Dans ce contexte, les termes « restez à la maison », « prenez soin de vous » et « distanciation sociale » n’ont guère de sens.
Jair Bolsonaro a eu tout le temps de profiter de son statut de seul leader politique ayant de réelles chances aux prochaines élections présidentielles de 2022 et de parcourir le pays en « mode campagne électorale ». La conférence de presse que Lula da Silva, récemment rétabli dans ses droits politiques, a donnée le mercredi 10 mars a eu un large retentissement et un impact politique.
Si les reportages sur l’Afrique ne font qu’abreuver un lectorat avide d’un aperçu des conditions étranges dans lesquelles les Autres vivent, on passe à côté d’une opportunité de construire un vrai internationalisme.