Comment préserver les équilibres fragiles de la planète et contenir le réchauffement global des températures d’une part, et d’autre part celui d’assurer la subsistance et une vie digne de ce nom à toute la population mondiale ? Car, restaurer ou inventer une nouvelle culture et une nouvelle gestion de l’eau (et, de manière inséparable, de la terre) peut à l’inverse nous permettre de répondre aux impératifs écologiques tout en nous assurant une « vie bonne », aussi bien dans les grandes métropoles que dans les régions rurales, au Nord et au Sud de la planète.
Depuis 2013, la Centrafrique est en proie à des conflits internes incessants. Echecs des efforts de démocratisation, multiplications de coups d’Etats, concentration du pouvoir de l’Etat par l’exécutif, porosité des frontières et ingérences de combattants étrangers (...). toutes ces causes peuvent expliquer la prolifération de groupes armés et la persistance des conflits.
Le peuple Lisu vit dans les collines situées au nord de la Thaïlande, au Nord-Est de la Birmanie et au sud de la Chine. Peuple apatride, dont la langue, la culture, la religion et les pratiques leur sont propres, ils et elles résistent aux vélléités de l’Etat thaï de les intégrer, culturellement et matériellement, dans la communauté nationale.
Malgré la variété de trajectoires nationales qui limite la pertinence de toute entreprise de généralisation, depuis une dizaine d’années, la démocratie ne semble plus progresser sur le continent africain. En considérant la démocratie au-delà de l’approche réductive et classique des élections, force est de constater que l’autoritarisme gagne du terrain.