La pandémie et ses restrictions se sont ajoutées à la faim et la pauvreté provoquées par la crise économique émanant à la décomposition du système capitaliste. Le fléau de la pandémie n’a pas épargné les nations riches développées mais, partout, les restrictions imposées par le confinement ont un impact disproportionné, et affectent bien plus les paysan·ne·s et leurs communautés ainsi que les pauvres et la classe ouvrière.