L’extractivisme a réaffirmé le rôle des pays d’Afrique du Nord en tant qu’exportateurs de nature et fournisseurs de ressources naturelles, en consolidant leur intégration subordonnée dans l’économie capitaliste mondiale.
L’extractivisme a réaffirmé le rôle des pays d’Afrique du Nord en tant qu’exportateurs de nature et fournisseurs de ressources naturelles, en consolidant leur intégration subordonnée dans l’économie capitaliste mondiale.
Une initiative sur l’eau
Le Forum Alternatif Mondial de l’Eau (FAME) se tient en parallèle du Forum Mondial de l’Eau (FME) afin d’affirmer qu’une autre approche de la ressource et de sa gestion est possible.
Au cours des dernières années, le gouvernement tanzanien a violemment expulsé des populations Massaï en brûlant des bomas, en détruisant de la nourriture, en réquisitionnant le bétail et en déplaçant par la force des dizaines de milliers de villageois de leurs terres ; tout ceci au nom de la « préservation des écosystèmes pour le tourisme ».
Une initiative sur l’eau
En Île-de-France, en 2018, ce sont 24 villes qui sont sorties du Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif). Cela fait suite à un vote inédit, fin décembre 2017, lors des conseils des territoires de 3 établissements publics territoriaux).
En Argentine, les organisations qui luttent pour l’accès à la terre et aux ressources naturelles font face à la criminalisation croissante de l’Etat et des entreprises privées. Ce sont les femmes qui sont en première ligne de ces résistances, et Lucia Ruiz nous raconte les stratégies de luttes collectives mises en place.
La vie sur Terre est confrontée à deux menaces existentielles : la crise climatique et les armes nucléaires. Ces deux menaces sont étroitement liées et se renforcent mutuellement. Avec le monde en flammes, la crise climatique est, même pour ses détracteurs les plus féroces, impossible à ignorer...
La convergence de la crise climatique et de la hausse des importations de produits alimentaires en Afrique mène tout droit à la catastrophe. À moins que des mesures ne soient prises pour mettre en place des systèmes alimentaires locaux et supprimer la dépendance croissante vis-à-vis des importations de céréales et d’autres aliments de base...
Il est essentiel de comprendre les causes de l’inégalité économique pour parvenir à un développement économique équitable. Pour déterminer si le réchauffement de la planète a influé sur l’évolution récente des inégalités, cette étude s’appuie sur de nombreux graphiques.
Parallèlement à la montée en puissance des marches et des grèves pour le climat, certains activistes aspirent à des actions directes d’occupation ou de sabotage. Jusqu’à quel point sont-ils prêts à durcir leurs modes d’action contre ceux qui détruisent la planète ? Et quelles sont les stratégies en présence ?
La crise climatique - et plus largement la crise environnementale - que nous traversons est générée par des modes de production et de consommation insoutenables. Le recours massif aux intrants de synthèse (pesticides et engrais) ainsi qu’à la biotechnologie (comme les OGM) sont des emblèmes de l’industrialisation de l’agriculture.
Suite à la disparition de Benjamin Dessus, un passeur de savoir rigoureux au service des transitions, nous publions un de ses articles qui avait introduit le numéro 8 de la collection Passerelle intitulé "L’efficacité énergétique à travers le monde, sur le chemin de la transition".
En dépit de ses ressources et d’un sous-sol extrêmement riche en différents minerais, la République démocratique du Congo (RDC) est l’un des pays les plus pauvres de la planète. Le pays supporte le poids d’une colonisation dévastatrice, d’une indépendance spoliée par les puissances occidentales et d’une dette illégitime de plusieurs milliards de dollars.
Les habitant·es affirment que les grandes exploitations commerciales d’arbres d’eucalyptus assèchent leurs sources d’eau et les affament. Et il se pourrait bien qu’un tribunal leur donne raison.
Le New Deal écologique est sans conteste la stratégie la plus ambitieuse des États-Unis en matière de justice climatique à ce jour. La crise climatique est toutefois mondiale, et l’Afrique se trouve en première ligne.
Cette introduction révèle une nouvelle vague d’accaparement des océans, et répond à quelques unes des principales questions sur les mécanismes qui facilitent ce processus ainsi que ses impacts sur les personnes et les environnements.
Les incendies qui détruisent l’Amazonie et attirent l’attention du monde entier ne sont que la face la plus visible de l’exploitation de la plus grande forêt tropicale du monde. Derrière l’abattage de la forêt et les incendies se cachent de puissants intérêts économiques : l’élevage du bétail, le commerce illégal du bois et la production de soja.
Análisis recientes de seis países amazónicos revelan el conflicto entre la visión de desarrollo económico imperante con respecto a los derechos territoriales indígenas y la conservación de las áreas protegidas
La multiplication des vagues de chaleur entraîne une augmentation exponentielle du nombre de climatiseurs. Mais ceux-ci sont extrêmement nocifs pour l’environnement et risquent d’aggraver encore le réchauffement… Les différentes pistes explorées pour améliorer la technologie ou pour trouver des alternatives illustrent le débat qui traverse l’écologie entre accélérationnisme technologique et injonctions à ralentir.
Le Mozambique va-t-il se transformer en « Qatar africain » ? C’est en tout cas ce que souhaite son gouvernement et de nombreuses multinationales occidentales, parmi lesquelles Total, Technip, EDF et les grandes banques françaises.
Trois institutions financières publiques à l’épreuve de l’Accord de Paris
Depuis 2017, de nombreuses institutions financières publiques s’engagent à aligner leurs activités avec l’Accord de Paris. Malgré l’urgence climatique, la mise en œuvre de ces engagements est longue et complexe, voire inexistante pour certaines.