Marta Torre-Schaub tente de définir le cadre qui a vu émerger ces dernières années un peu partout dans le monde des "procès climatiques", qu’ils visent des États ou des entreprises.
Toutes les questions que la pandémie du coronavirus pose de manière aiguë remettent en cause nos systèmes alimentaires dans leur ensemble. La Confédération paysanne incite à revaloriser les paysans dont l’objectif premier est de satisfaire le besoin de la population de se nourrir sainement, en quantité et qualité.
De tous temps, les sociétés humaines se sont déplacées pour s’adapter aux modifications de leur environnement ; cependant, le changement climatique exacerbe les facteurs poussant les populations à partir. De plus en plus de personnes sont et seront contraintes de migrer : l’enjeu de la liberté de circulation comme moyen d’adaptation au changement climatique se fait dès lors de plus en plus pressant. État des lieux sur la question.
Le New Deal écologique est sans conteste la stratégie la plus ambitieuse des États-Unis en matière de justice climatique à ce jour. La crise climatique est toutefois mondiale, et l’Afrique se trouve en première ligne.
Le changement climatique fait déjà sentir ses effets et menace la vie de nombreuses populations dans le monde (sécheresses, ouragans, montée des eaux…). Face à cela, des citoyen·nes se mobilisent et saisissent les juges pour faire valoir leur droit à un environnement sain.
Un peu partout, des citoyens, des associations, mais aussi des villes optent pour la voie juridique dans le but de faire pression sur leurs gouvernements mais aussi les grands groupes, au nom de la justice climatique et du respect de l’environnement.
Dans le processus de prise de conscience collective des enjeux liés aux dérèglements climatiques, nous faisons face à une difficulté majeure : quelle est la bonne articulation entre l’échelle globale et l’échelle locale (voire individuelle) pour parler de ces problèmes et de leurs solutions ?