L’ECSI pour déconstruire les préjugés sur les migrations

Zoom sur quelques outils pour sensibiliser aux questions de migration

, par ritimo

A partir de 6 ans

Comprendre les migrations pour un accueil digne des personnes étrangères
Kit de 10 activités pour les 6-12 ans, créé par La Cimade en partenariat avec la Ligue de l’enseignement. Il a pour objectif d’aider les plus jeunes à « déconstruire les stéréotypes et préjugés relatifs aux personnes immigrées, exilées, réfugiées... Nombreuses sont les activités du kit basées sur de mini récits de vie ou une invitation à « se mettre à la place de... ». » Les enfants sont, par exemple, invité·es à s’interroger, par le biais du jeu de la cocotte ou de la marelle, sur le sens du mot « déracinement » ou à cartographier un parcours de migrant·e.

A partir de 9 ans

Migramundo
« Migramundo est un jeu coopératif à destination des élèves de cycle 3. Il a pour but de sensibiliser les enfants à la question des migrations dans tous ses aspects, et ainsi de développer leur esprit critique concernant cette thématique.
Le jeu se joue en 6 équipes. Le but est de permettre à chaque enfant représenté sur le plateau de jeu d’effectuer son parcours de migration en entier. Pour cela, les joueur·euses devront coopérer entre eux, car si un·e enfant n’a pas terminé son parcours, c’est toute le groupe qui perd. »

A partir de 14 ans

Exposition Halte aux préjugés sur les migrations !
« Inspirée du petit Guide de survie pour répondre aux préjugés sur les migrations , cette exposition est co-produite par ritimo et le CCFD-Terre Solidaire pour battre en brèche les idées reçues.
Sept préjugés sur les migrations sont passés au crible de données chiffrées qui démontrent que les fantasmes et les peurs faussent la plupart des représentations sur ce thème.
Cette exposition donne aussi des pistes pour s’engager auprès des migrant·es. »

A partir de 15 ans

Migrant’Chiffres
« Ce jeu propose une entrée en matière visuelle de la thématique migration au niveau mondial et européen en présentant des données sur le nombre, l’origine ou la destination des personnes migrantes via un système de répartition par cartons de couleurs. Cette mise à l’échelle du groupe de grands chiffres abstraits permet aux participant·es une meilleure appréhension de la réalité et une confrontation avec les représentations de chacun·e. »