Le site red pepper propose un « point de vue de gauche » sur les crypto-monnaies, et plus particulièrement sur l’essor récent du Bitcoin. L’article met en lumière trois conséquences quant à leur récent développement. Quelles sont les réponses de la gauche face à cet essor ?
Un an après l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh, le Conseil des droits humains des Nations unies s’est prononcé en faveur d’un traité contraignant les entreprises transnationales à respecter les droits humains. La coalition #Feminists4BindingTreaty (« Féministes pour un traité contraignant ») se mobilise pour que le futur traité contribue à réduire les discriminations fondées sur l’identité de genre ou l’orientation sexuelle.
La finance opprime les gens de manière très concrète, dans la mesure où l’endettement impose l’obligation de travailler de plus en plus, indépendamment de la précarité des conditions. La dette implique une obéissance, et touche les femmes de manière différenciée. Cet article invite à politiser la dette.
Être militant écologiste en Russie n’a jamais été facile. Pollution industrielle, dégradation de l’environnement, méfaits sur la santé sont des vérités que le pouvoir russe a toujours cherché à occulter. Ces derniers temps toutefois, la répression contre les activistes apparaît de plus en plus débridée.
Déploiement incessant de forces de l’ordre supplémentaires aux frontières pour traquer les exilés ; inflation de barbelés, caméras, murs ou drones… basta ! a enquêté sur le coût d’une politique répressive aberrante.
Un collectif d’habitant·es de la ville mexicaine d’Oaxaca demande à la justice française de réexaminer leur recours légal, rejeté en première instance, contre la construction d’un parc éolien par EDF.
Depuis octobre 2017, le Cameroun est en proie à un conflit meurtrier qui oppose l’armée aux forces séparatistes des deux régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Ses origines remontent à la colonisation de ce pays par les gouvernements français et britannique.
Pour éviter le sectarisme et la discrimination, nous devons connaître le spectre humain des expériences de la diversité des genres, hier et aujourd’hui.
Cet article a été écrit par une femme transgenre étasunienne en réaction à un article sur la communauté transgenre du Cachemire sous administration indienne.
Alors que les prix ne cessent d’augmenter en Turquie, les ouvrier·es de l’usine Kosan Kozmetik, qui gagnent en moyenne 230 euros par mois, adhèrent au syndicat Petrol-İş pour négocier une augmentation. En quelques jours, la plupart des personnes syndiquées sont licenciées ou poussées à la démission. Mais les 132 personnes exclues ne se résignent pas à leur sort : les manifestations se poursuivent tous les jours devant l’usine et la solidarité internationale s’organise.
Plusieurs gouvernements utilisent des lois contre la désinformation pour faire taire les dissidents.
Dans certains pays, les initiatives législatives utilisant les termes « fake news » et « désinformation » deviennent des instruments de surveillance, de réduction au silence des voix et de lutte contre la dissidence.
Les pays occidentaux se sont tous opposés à l’invasion russe en Ukraine et reconnaissent le droit à la légitime défense des ukrainien·nes. Or ce même droit n’est pas reconnu quand il s’agit des Palestiniens vis-à-vis de l’occupation israélienne.
Déclaration du Forum alternatif mondial de l’eau - Dakar, le 25 mars 2022
Déclaration du Forum alternatif mondial de l’eau (FAME) qui s’est tenu à Dakar du 21 au 25 mars 2022 avec comme objectif de créer une alternative concrète au Forum Mondial de l’Eau (FME) organisé par le Conseil Mondial de l’Eau, porte-parole des entreprises transnationales et de la Banque mondiale et prétend diriger la gouvernance mondiale de l’eau.
Depuis qu’il s’est octroyé les pleins pouvoirs en septembre 2021, le nouveau maître de la Tunisie s’emploie à neutraliser tous les contre-pouvoirs qui ont été mis en place pour éviter un retour au despotisme.
Le choix des mots véhicule des signifiés implicites qui déterminent les relations entre les populations du monde. Cet article amène une réflexion sur ce qu’engendrent les termes "migrant" ou "Mineurs non accompagnés" dans l’inconscient collectif occidental.
Le rapport du Groupe de travail II du GIEC sur les impacts et l’adaptation au changement climatique lance un cri d’alarme strident : la catastrophe est plus grave que projeté par les modèles, ses effets se manifestent plus vite et tous les risques grandissent. Les auteurs/trices du rapport du GIEC appellent à une approche inclusive pour transformer la société à tous les niveaux.
De plus en plus de personnes s’engagent dans des communs et réalisent des actions en s’en revendiquant. Ils et elles construisent des modèles organisationnels pour créer, développer et pérenniser ces communs dans le temps. Avec Ostrom, ces modes d’organisation sont généralement appréhendés par (…)
La « Ferme Emmaüs Baudonne », dans les Landes, est une ferme en agriculture biologique qui accueille des femmes en aménagement de peine, en leur proposant un travail, un logement et un accompagnement socio-professionnel. Un projet économique qui repose notamment sur une activité agricole, avec la mise en place d’un atelier de production de légumes certifiés en agriculture biologique, produits toute l’année, sous serre et plein champ.
En une quinzaine d’années, l’endettement extérieur de l’Afrique subsaharienne a presque triplé. Les signaux d’alerte se multiplient, une nouvelle crise de la dette menace. Le risque est d’autant plus élevé qu’une part importante de ces créances est aujourd’hui entre les mains d’investisseurs privés peu scrupuleux, et notamment de plusieurs banques françaises.
La « solution » de l’élite à la crise climatique consiste à transformer les personnes déplacées en main-d’œuvre migrante exploitable. Nous avons besoin d’une véritable alternative internationaliste. La liberté de rester et la liberté de circuler, c’est-à-dire l’absence de frontières, sont des réparations décoloniales et une redistribution dues depuis longtemps maintenant.
C’est sous le gouvernement de Horacio Cartes que l’agrobusiness a reçu sa plus forte impulsion, doublée d’une nette augmentation des processus de criminalisation des protestations sociales, autochtone et paysanne.