En Palestine, les déchets électroniques sont brûlés pour y récupérer les métaux et les revendre illégalement. Un trafic qui a fait augmenter le cas de cancers, et l’inquiétude des habitants.
L’exportation de déchets de l’Union européenne vers la Turquie, principal importateur de cette marchandise funeste pour la santé humaine et l’environnement, est en pleine expansion.
Ce premier épisode de la série "L’écologie, un problème de riches ?" vient contredire l’affirmation que nous serions tou·tes égaux·ales face au changement climatique. Une série en 7 épisodes pour comprendre la problématique écologique au prisme des fractures sociales et sociétales, qui donne aussi des pistes de résistances et d’engagements face à cet énorme défi.
Depuis plusieurs mois, une importante affaire d’importation illégale de déchets ménagers venus d’Italie secoue le pays. Outre le scandale environnemental, de nombreux documents obtenus par inkyfada et le réseau d’investigation italien IrpiMedia corroborent la piste d’un vaste réseau de corruption.
Pour la première fois en France, un projet d’habitat participatif a prévu un système d’assainissement écologique pérenne, avec des toilettes sèches, dans chaque logement. Des toilettes sans eaux, c’est donc la première initiative de ce genre qui prendra place à l’Ôôôberge, à Dol-de-Bretagne.
Des millions de tonnes de plastique (sacs, bouteilles, jouets...) sont notamment déversés dans les océans, avec un impact mondial phénoménal sur l’ensemble du système écologique, et, par extension, sur la santé humaine.
Déchets publics, profits privésBelgrade peut-elle régler le problème du traitement de ses ordures sans un partenariat coûteux avec une multinationale française ?
Depuis une cinquantaine d’années, une des plus grandes décharges à ciel ouvert d’Europe empoisonne les sol et l’air de la banlieue de (…)
El Mauro, au Chili, est le plus grand réservoir de déchets miniers d’Amérique latine. Ses boues toxiques menacent le village voisin de Caimanes, sans que rien ne soit fait pour prévenir les risques. Un cas d’école de l’impunité dont bénéficient les compagnies minières.
Aucun scientifique ne peut le réfuter, nous approchons dangereusement de nos limites. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU affirme qu’il ne nous reste que douze ans pour éviter que la planète ne se réchauffe au-delà de 1,5 °C et que nous avons besoin de "changements rapides, de grande envergure et sans précédent".