Avec la crise économique, les rues de la capitale grecque se parent de messages politiques. Au-delà du bouleversement de la scène de street art athénienne, c’est l’organisation même de certains quartiers qui changent au gré des modes, du tourisme et des articles dans la presse internationale.
Le Venezuela suscite un sentiment ambivalent de proximité et de distance. Le sentiment de proximité se réfère à ce qui se passe dans les tréfonds de la société : l’ampleur dévastatrice de la crise sociale et humanitaire ; l’effort énorme quotidien des Vénézuéliens pour survivre, y compris le désir de certains de croire que tout n’est pas perdu et qu’il est toujours possible de réorienter le processus dans un sens démocratique et émancipateur...