Naomi Klein lance un pavé dans la mare des Grandes ONG environnementalistes largement financées par le big business lorsqu’elle écrit que les "grands groupes verts" font plus de mal que de bien quand il s’agit de sauver la planète.
Inimaginables quelques décennies plus tôt, les partenariats entre les ONG environnementales et les grandes sociétés de marque sont devenues monnaie courante.
Si les grandes ONGE américaines sont les premières visées d’autres comme le WWF n’échappent pas à cette critique.