« La volonté de lier immigration, coopération et développement est, a priori, d’un grand intérêt. Elle ne dispense pas d’une réflexion sur la nature des politiques de développement, d’immigration et de coopération. »
Pour éclairer le débat et fonder des propositions, Gustave Massiah se propose d’aborder trois questions : Le développement permet-il de réduire les flux migratoires ? A quelles conditions une politique de coopération peut-elle aider au développement local et à la démocratisation ? Comment inscrire la relation entre flux migratoires et développement dans une politique de l’immigration ?