« Il était essentiel que la société civile s’exprime sur les problèmes de développement. Un premier message indique que l’accessibilité des territoires et des services pour tous constitue un véritable enjeu pour asseoir le développement socioéconomique et la sécurité face à la montée des risques. Cela implique de former des experts nationaux dans les pays concernés, d’encourager les partenariats et mettre en place des systèmes d’information nationaux, facilitant la décentralisation et le développement local.
« Le deuxième message fort concerne la nécessité d’écouter les “mouvements citoyens” présents lors des dernières rencontres internationales. L’histoire montre, en effet, que les nouveaux systèmes naissent souvent de la périphérie : les mouvements citoyens proposent des approches nouvelles, en envisageant l’aide au développement en termes de redistribution mondiale, de financement des biens publics globaux et d’accès aux droits fondamentaux. »