Face à des signaux mêlant vert et brun, quelques voix se sont dernièrement élevées en France pour inviter le mouvement écologiste à clarifier son discours et à penser – a minima – sa rhétorique face à une forme d’écologie d’extrême droite en gestation, qui mûrit son argumentaire, ses idées et voit éclore quelques bastions.
Mais que recouvre ce terme d’« écofascisme » ? Sous quelles formes se manifeste-t-il ? Comment le dénoncer pour enrayer dès à présent les scénarios du pire ?