Le nouveau rapport de l’AITEC est basé sur une enquête menée en 2017 auprès d’élu·es, d’agents territoriaux, et d’acteur·trices du monde associatif qui met en avant des politiques publiques locales alternatives, plus démocratiques, plus justes et plus durables, à rebours de la libéralisation des marchés, du tout-privé et d’une économie hors-sol.
Le programme chinois de méga-infrastructures, l’initiative la Ceinture et la Route (Belt and Road Initiative ou BRI en anglais) augmentera la concentration de la production et de la distribution alimentaires mondiales, risquant d’exacerber encore la marginalisation des petits agriculteurs, des pêcheurs, des populations forestières et des communautés rurales.
Dans la grande ville du sud de la France, les quartiers nord sont parmi les plus pauvres du pays. Depuis la multiplication de l’habitat collectif dans les années 1980, ils ont été peu à peu délaissés, laissant la population éloignée des services publics de base. Des services qui sont pourtant vecteurs de développement.
Le droit à la ville a connu de nombreux soubresauts, aller-retours, interprétations, appropriations. Comment savoir ce que veulent des acteurs se revendiquant du droit à la ville ? Et comment faire le lien entre des militants, chercheurs, pouvoirs locaux qui sans en parler directement, essaient de mettre en place concrètement cette utopie indispensable qu’est le droit à la ville ?