Les États-Unis vont bientôt devoir gérer leurs premiers réfugiés climatiques, avec la disparition de villages entiers en Alaska. A l’échelle mondiale, près de 500 millions de personnes pourraient être obligées de migrer d’ici 2050. En cause, les catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique : des régions entières seront sans doute rayées de la carte. Face à l’urgence, les institutions internationales trainent à définir un statut pour ces réfugiés. Alors que les partis d’extrême droite instrumentalisent déjà la peur de ces nouveaux flux migratoires.
Des millions de réfugiés climatiques attendent un statut
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