Dans la continuité du rapport de 2007, le rapport du GIEC publié le 27 septembre 2013 confirme et aggrave, les scenarii les plus pessimistes : lien mieux établi entre ces changements et les variations climatiques extrêmes (sécheresses, inondations, ouragans), hausse du niveau des océans plus importante que celle envisagée en 2007, probabilité à 95% de l’impact des activités humaines sur ce changement, en particulier l’usage des énergies fossiles. Mais pour le plus grand bonheur des grandes puissances, ce rapport ouvre la porte à la géoingénierie : l’action à grande échelle dans le système climatique pour stopper ou ralentir le réchauffement, techniques dont on ne maîtrise pas les conséquences globales... Une fausse "bonne solution" au changement climatique. Alors que des solutions qui répondent au défi de la crise climatique existent. Aux citoyens de s’en emparer !
Le GIEC ouvre la porte à la géoingénierie