Pour que (sur)vivent les luttes des femmes

Après l’inscription dans la Constitution française de la liberté des femmes de recourir à l’interruption volontaire de grossesse, ritimo s’alarme des avancées un peu trop spectaculaires en matière de droits des femmes. Avec des gouvernements si progressistes de par le monde, il est à craindre que les femmes deviennent égales de droits avec les hommes plus rapidement que prévu, que leurs luttes s’affaiblissent et que par conséquent, l’une des raisons d’être de ritimo ne soit plus.

Pour contrer ce vent mauvais qui nuit aux luttes féministes, ritimo a donc pris 2 décisions en urgence en conseil d’administration :
 augmenter de 20 % le salaire des membres masculins de l’équipe (le matriarcat dans ritimo, avec 1,5 homme dans l’équipe, permettra de garder un budget équilibré)
 faire un prochain Passerelle sur les conflits armés dans le monde, avec un comité édito composé à 100% d’hommes experts.

Sur ce, ritimo vous souhaite un 8 mars combattif à toutes !
Longue vie à nos luttes