Sur l’agenda 20 février 2024

  • Photographies d’Anush Babajanyan (Les oubliés de la rivière Kosi) et Emily Garthwaite (Les larmes du fleuve Tigre), lauréates du Prix photo Terre Solidaire Regarder pour comprendre le monde Faire se rencontrer les engagements du CCFD-Terre Solidaire et ceux des photographes documentaires est l’objectif premier du Prix photo Terre Solidaire. Avec cette exposition, nous souhaitons mettre à l’honneur les premiers travaux exceptionnels des lauréates de cette première édition et raconter les nouvelles histoires nées de cette rencontre. Au même titre que son action de soutien à des organisations partenaires à travers le monde au service de la souveraineté alimentaire, le CCFD-Terre Solidaire a voulu donner les moyens d’agir aux photographes. Le nombre de candidatures, plus de 480 provenant de 70 pays, et leur qualité ont démontré l’utilité et l’originalité de cette démarche. Ce prix, dont la deuxième édition se tiendra en 2024, rappelle également notre histoire avec Sebastião Salgado. Cinquante ans après son reportage au Sahel avec le CCFD-Terre Solidaire, il nous a fait l’honneur de le présider. Nos liens étroits servent des combats communs toujours vivaces. Le travail sur le long terme, l’identification des maux de notre planète et les stratégies pour y remédier sont autant d’actions invisibles révélées par les photographes de terrain. Leur rôle est de donner à penser un monde de plus en plus complexe en faisant preuve d’une profonde empathie. Face à la fragilité d’une terre aux abois, la résilience et l’instinct de survie prédominent. Voilà l’histoire que nous racontent les deux sujets de l’exposition, que cela soit en Inde ou en Irak. Ces travaux donnent leur sens à notre démarche humaniste et environnementale. Prenons maintenant le temps de regarder pour comprendre le monde. Expositions Anush Babajanyan, "Les oubliés de la rivière Kosi" Emily Garthwaite, "Les larmes du fleuve Tigre" Conférences Jeudi 01/02, 19:00 Inde : Les oubliés de la rivière Kosi Jeudi 08/02, 19:00 Quand l’eau fait fleuve avec Patrick Frenel, expert international de l’eau, administrateur de la Maison des Citoyens du Monde Jeudi 15/02, 19:00 Irak : Les larmes du fleuve Tigre en présence de la photographe Emily Garthwaite Jeudi 29/02, 19:00 L’eau, un bien commun à gérer avec Jean-Sébastien Guitton, Vice-président de Nantes Métropole, délégué Cycle de l’eau et biodiversité Jeudi 07/03, 19:00 Être solidaire, une posture citoyenne avec Bernard Pinaud, bénévole et ancien délégué général du CCFD-Terre Solidaire Conférence suivie d’un concert de Jordi Prats (sarod) et Alexis Weisgerber (tabla) – Musique traditionnelle d’Inde du Nord Toutes les conférences sont précédées d’une visite de l’exposition à 18:00. Infos pratiques : Entrée libre et gratuite Photographies d’Anush Babajanyan (Les oubliés de la rivière Kosi) et Emily Garthwaite (Les larmes du fleuve Tigre), lauréates du Prix photo Terre Solidaire Regarder pour comprendre le monde Faire se rencontrer les engagements du CCFD-Terre Solidaire et ceux des photographes documentaires est l’objectif premier du Prix photo Terre Solidaire. Avec cette exposition, nous souhaitons mettre à l’honneur les premiers travaux exceptionnels des lauréates de cette première édition et raconter les nouvelles histoires nées de cette rencontre. Au même titre que son action de soutien à des organisations partenaires à travers le monde au service de la souveraineté alimentaire, le CCFD-Terre Solidaire a voulu donner les moyens d’agir aux photographes. Le nombre de candidatures, plus de 480 provenant de 70 pays, et leur qualité ont démontré l’utilité et l’originalité de cette démarche. Ce prix, dont la deuxième édition se tiendra en 2024, rappelle également notre histoire avec Sebastião Salgado. Cinquante ans après son reportage au Sahel avec le CCFD-Terre Solidaire, il nous a fait l’honneur de le présider. Nos liens étroits servent des combats communs toujours vivaces. Le travail sur le long terme, l’identification des maux de notre planète et les stratégies pour y remédier sont autant d’actions invisibles révélées par les photographes de terrain. Leur rôle est de donner à penser un monde de plus en plus complexe en faisant preuve d’une profonde empathie. Face à la fragilité d’une terre aux abois, la résilience et l’instinct de survie prédominent. Voilà l’histoire que nous racontent les deux sujets de l’exposition, que cela soit en Inde ou en Irak. Ces travaux donnent leur sens à notre démarche humaniste et environnementale. Prenons maintenant le temps de regarder pour comprendre le monde. Expositions Anush Babajanyan, "Les oubliés de la rivière Kosi" Emily Garthwaite, "Les larmes du fleuve Tigre" Conférences Jeudi 01/02, 19:00 Inde : Les oubliés de la rivière Kosi Jeudi 08/02, 19:00 Quand l’eau fait fleuve avec Patrick Frenel, expert international de l’eau, administrateur de la Maison des Citoyens du Monde Jeudi 15/02, 19:00 Irak : Les larmes du fleuve Tigre en présence de la photographe Emily Garthwaite Jeudi 29/02, 19:00 L’eau, un bien commun à gérer avec Jean-Sébastien Guitton, Vice-président de Nantes Métropole, délégué Cycle de l’eau et biodiversité Jeudi 07/03, 19:00 Être solidaire, une posture citoyenne avec Bernard Pinaud, bénévole et ancien délégué général du CCFD-Terre Solidaire Conférence suivie d’un concert de Jordi Prats (sarod) et Alexis Weisgerber (tabla) – Musique traditionnelle d’Inde du Nord Toutes les conférences sont précédées d’une visite de l’exposition à 18:00. Infos pratiques : Entrée libre et gratuite Photographies d’Anush Babajanyan (Les oubliés de la rivière Kosi) et Emily Garthwaite (Les larmes du fleuve Tigre), lauréates du Prix photo Terre Solidaire Regarder pour comprendre le monde Faire se rencontrer les engagements du CCFD-Terre Solidaire et ceux des photographes documentaires est l’objectif premier du Prix photo Terre Solidaire. Avec cette exposition, nous souhaitons mettre à l’honneur les premiers travaux exceptionnels des lauréates de cette première édition et raconter les nouvelles histoires nées de cette rencontre. Au même titre que son action de soutien à des organisations partenaires à travers le monde au service de la souveraineté alimentaire, le CCFD-Terre Solidaire a voulu donner les moyens d’agir aux photographes. Le nombre de candidatures, plus de 480 provenant de 70 pays, et leur qualité ont démontré l’utilité et l’originalité de cette démarche. Ce prix, dont la deuxième édition se tiendra en 2024, rappelle également notre histoire avec Sebastião Salgado. Cinquante ans après son reportage au Sahel avec le CCFD-Terre Solidaire, il nous a fait l’honneur de le présider. Nos liens étroits servent des combats communs toujours vivaces. Le travail sur le long terme, l’identification des maux de notre planète et les stratégies pour y remédier sont autant d’actions invisibles révélées par les photographes de terrain. Leur rôle est de donner à penser un monde de plus en plus complexe en faisant preuve d’une profonde empathie. Face à la fragilité d’une terre aux abois, la résilience et l’instinct de survie prédominent. Voilà l’histoire que nous racontent les deux sujets de l’exposition, que cela soit en Inde ou en Irak. Ces travaux donnent leur sens à notre démarche humaniste et environnementale. Prenons maintenant le temps de regarder pour comprendre le monde. Expositions Anush Babajanyan, "Les oubliés de la rivière Kosi" Emily Garthwaite, "Les larmes du fleuve Tigre" Conférences Jeudi 01/02, 19:00 Inde : Les oubliés de la rivière Kosi Jeudi 08/02, 19:00 Quand l’eau fait fleuve avec Patrick Frenel, expert international de l’eau, administrateur de la Maison des Citoyens du Monde Jeudi 15/02, 19:00 Irak : Les larmes du fleuve Tigre en présence de la photographe Emily Garthwaite Jeudi 29/02, 19:00 L’eau, un bien commun à gérer avec Jean-Sébastien Guitton, Vice-président de Nantes Métropole, délégué Cycle de l’eau et biodiversité Jeudi 07/03, 19:00 Être solidaire, une posture citoyenne avec Bernard Pinaud, bénévole et ancien délégué général du CCFD-Terre Solidaire Conférence suivie d’un concert de Jordi Prats (sarod) et Alexis Weisgerber (tabla) – Musique traditionnelle d’Inde du Nord Toutes les conférences sont précédées d’une visite de l’exposition à 18:00. Infos pratiques : Entrée libre et gratuite

    Espace Cosmopolis

  • L’association E-graine propose une rencontre autour du programme "UN UNIVERS CITOYEN" Convaincu de la nécessité de démocratiser la compréhension des enjeux migratoires, le mouvement des associations e-graine a été à l’initiative, dès 2018, d’un programme national d’éducation aux migrations. Depuis 5 ans, e-graine déploie le programme coopératif d’éducation aux migrations "Un univers citoyen" pour déconstruire les préjugés dont font l’objet les personnes en migration et apprendre à mieux vivre ensemble. E-graine Pays-de-la-Loire déploie le programme cette année avec la volonté de réunir les acteurs travaillant autour de la migration lors d’une rencontre. Au programme : Ateliers d’interconnaissance : présentation d’un projet ou d’une pépite à partager en 3mn Présentation du programme “Un Univers Citoyen” Atelier “état des lieux de la migration sur le territoire” L’association E-graine propose une rencontre autour du programme "UN UNIVERS CITOYEN" Convaincu de la nécessité de démocratiser la compréhension des enjeux migratoires, le mouvement des associations e-graine a été à l’initiative, dès 2018, d’un programme national d’éducation aux migrations. Depuis 5 ans, e-graine déploie le programme coopératif d’éducation aux migrations "Un univers citoyen" pour déconstruire les préjugés dont font l’objet les personnes en migration et apprendre à mieux vivre ensemble. E-graine Pays-de-la-Loire déploie le programme cette année avec la volonté de réunir les acteurs travaillant autour de la migration lors d’une rencontre. Au programme : Ateliers d’interconnaissance : présentation d’un projet ou d’une pépite à partager en 3mn Présentation du programme “Un Univers Citoyen” Atelier “état des lieux de la migration sur le territoire” "Largement relayée dans les médias de grande diffusion, les expressions « crise migratoire » ou « crise des réfugiés » enferment ce phénomène dans le régime de l’angoisse et confondent des groupes de personnes fort disparates : étudiants étrangers, sans papiers, expatriés, demandeurs d’asile, réfugiés… Plus encore, ce concept de « crises » conjugué à une politique Française « d’immigration choisie » ont nourrit un clivage entre « bons » et « mauvais » migrants, les uns étant supposément réparateurs des torts de « l’immigration subie ». Une représentation largement partagée par l’opinion publique et politique en France et en Europe qui attribue une légitimité à migrer aux personnes victimes de régimes politiques, nourrissant ainsi des antagonismes entre individus et suscitant un climat de suspicions quand à la sincérité des candidats à l’asile. Ces « crises » stigmatisent d’autant plus les étrangers, contribuant à la construction d’une ligne imaginaire entre Nous et Eux : « un autre », tendant de cette manière à déshumaniser et marginaliser les personnes concernées." "Largement relayée dans les médias de grande diffusion, les expressions « crise migratoire » ou « crise des réfugiés » enferment ce phénomène dans le régime de l’angoisse et confondent des groupes de personnes fort disparates : étudiants étrangers, sans papiers, expatriés, demandeurs d’asile, réfugiés… Plus encore, ce concept de « crises » conjugué à une politique Française « d’immigration choisie » ont nourrit un clivage entre « bons » et « mauvais » migrants, les uns étant supposément réparateurs des torts de « l’immigration subie ». Une représentation largement partagée par l’opinion publique et politique en France et en Europe qui attribue une légitimité à migrer aux personnes victimes de régimes politiques, nourrissant ainsi des antagonismes entre individus et suscitant un climat de suspicions quand à la sincérité des candidats à l’asile. Ces « crises » stigmatisent d’autant plus les étrangers, contribuant à la construction d’une ligne imaginaire entre Nous et Eux : « un autre », tendant de cette manière à déshumaniser et marginaliser les personnes concernées."

    Maison de Quartier de la Bottière à Nantes

  • La LDH (Ligue des droits de l’Homme) et le SAF (Syndicat des avocats de France) seront là pour débattre avec vous de la question des violences policières, de la gestion sécuritaire des quartiers et du besoin de justice. "Nous sommes dans la banlieue de Strasbourg. Suite à la mort de son petit frère lors d’une interpellation policière, et après la douleur, l’abattement, Malika se lance dans un combat afin de faire éclater la vérité, d’exiger justice et de réparer le malheur en lui donnant un sens social – au péril de l’équilibre familial. Mais les autorités tentent de créer de l’opacité autour de cet homicide, pour que la famille ne pose pas de questions et que la société ne s’insurge pas contre des violences liées aux biais raciaux ancrés chez nombre de policiers. Dans le même temps, la victime est déconsidérée, ramenée à des faits de petite délinquance, qu’on lui a reprochés. Une pratique habituelle…" Ce film de Mehdi Fikri est une fiction, mais celle-ci est hélas, proche de la réalité. Pour autant, ce n’est pas un film manichéen, certains personnages peuvent exprimer des points de vue différents allant de la colère voire la violence à la désillusion ou au contraire à l’empathie. La LDH (Ligue des droits de l’Homme) et le SAF (Syndicat des avocats de France) seront là pour débattre avec vous de la question des violences policières, de la gestion sécuritaire des quartiers et du besoin de justice. "Nous sommes dans la banlieue de Strasbourg. Suite à la mort de son petit frère lors d’une interpellation policière, et après la douleur, l’abattement, Malika se lance dans un combat afin de faire éclater la vérité, d’exiger justice et de réparer le malheur en lui donnant un sens social – au péril de l’équilibre familial. Mais les autorités tentent de créer de l’opacité autour de cet homicide, pour que la famille ne pose pas de questions et que la société ne s’insurge pas contre des violences liées aux biais raciaux ancrés chez nombre de policiers. Dans le même temps, la victime est déconsidérée, ramenée à des faits de petite délinquance, qu’on lui a reprochés. Une pratique habituelle…" Ce film de Mehdi Fikri est une fiction, mais celle-ci est hélas, proche de la réalité. Pour autant, ce n’est pas un film manichéen, certains personnages peuvent exprimer des points de vue différents allant de la colère voire la violence à la désillusion ou au contraire à l’empathie.

    Cinéma Le Lutétia

février 2024 :

janvier 2024 | mars 2024