La projection « Côte d’ivoire, toxique Afrique » sera l’occasion, lors d’un débat, d’identifier les problématiques et d’affirmer les enjeux de la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire en s’appuyant sur des expertises et les réalités du terrain en Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Togo, Guinée forestière). La projection « Côte d’ivoire, toxique Afrique » sera l’occasion, lors d’un débat, d’identifier les problématiques et d’affirmer les enjeux de la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire en s’appuyant sur des expertises et les réalités du terrain en Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Togo, Guinée forestière). Les effets pervers de l’utilisation de pesticides, des groupes de pression à l’œuvre, le niveau de vie des populations, les insuffisances et les résistances, et une gouvernance en question sont autant d’entraves à l’émergence d’un monde où la démocratie et la connaissance, les moyens, humains et matériels seraient au service de la collectivité pour la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire, des droits auxquels citoyens, acteurs, des écosystèmes peinent à faire reconnaître et à exercer sans perdre l’espoir d’entraîner derrière eux des forces résilientes ni de changer d’échelles. Ces dernières sont pourtant indispensables à la transformation sociale et aux cycles vertueux de l’agrobiologie et des initiatives paysannes et citoyennes, qui permettrait d’aboutir aux ODD, d’atteindre les objectifs du programme universel du développement durable qu’est l’Agenda 2030. La projection-débat permettra de mettre en avant l’urgence et l’incontournable remise en cause de systèmes qui, historiquement et aujourd’hui encore, enkystés, verrouillent jusqu’à nos modes de pensée, nos discours, nos process imperméables aux avancées à l’échelle de l’individu comme de la communauté ; en Afrique de l’Ouest, en Côte d’Ivoire, en Guinée Forestière et au Togo, un état des lieux dans le domaine de la sécurité alimentaire et de la souveraineté alimentaire permettra de soulever des problématiques et d’identifier des enjeux que devrait s’approprier une prise de conscience éminemment liée d’abord et avant tout à la survie des populations, à l’accès à leurs droits et enfin à leur plein exercice. Une exigence que dicte une prise de conscience pour l’Afrique. © G. Collanges Les effets pervers de l’utilisation de pesticides, des groupes de pression à l’œuvre, le niveau de vie des populations, les insuffisances et les résistances, et une gouvernance en question sont autant d’entraves à l’émergence d’un monde où la démocratie et la connaissance, les moyens, humains et matériels seraient au service de la collectivité pour la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire, des droits auxquels citoyens, acteurs, des écosystèmes peinent à faire reconnaître et à exercer sans perdre l’espoir d’entraîner derrière eux des forces résilientes ni de changer d’échelles. Ces dernières sont pourtant indispensables à la transformation sociale et aux cycles vertueux de l’agrobiologie et des initiatives paysannes et citoyennes, qui permettrait d’aboutir aux ODD, d’atteindre les objectifs du programme universel du développement durable qu’est l’Agenda 2030. La projection-débat permettra de mettre en avant l’urgence et l’incontournable remise en cause de systèmes qui, historiquement et aujourd’hui encore, enkystés, verrouillent jusqu’à nos modes de pensée, nos discours, nos process imperméables aux avancées à l’échelle de l’individu comme de la communauté ; en Afrique de l’Ouest, en Côte d’Ivoire, en Guinée Forestière et au Togo, un état des lieux dans le domaine de la sécurité alimentaire et de la souveraineté alimentaire permettra de soulever des problématiques et d’identifier des enjeux que devrait s’approprier une prise de conscience éminemment liée d’abord et avant tout à la survie des populations, à l’accès à leurs droits et enfin à leur plein exercice. Une exigence que dicte une prise de conscience pour l’Afrique. © G. Collanges