Avant l’arrivée de la pandémie de Covid-19, les droits des réfugié·es étaient déjà bafoués et face à des problèmes déjà graves, les conséquences de la pandémie étaient malheureusement prévisibles. De nombreux·ses réfugié·es vivent dans les logements insalubres et surpeuplés des camps, dans des bidonvilles et des zones urbaines. Dans ce contexte, les termes « restez à la maison », « prenez soin de vous » et « distanciation sociale » n’ont guère de sens.