La violence sexuelle et le viol font depuis longtemps partie des principales armes de guerre au Darfour ; le corps des femmes a été exploité pour vaincre l’ennemi. Pourtant, près de deux décennies après le début du conflit au Darfour, ni les politiques ni les institutions de l’État ne servent à promouvoir et à garantir la protection des femmes ou à fournir des services et des soins aux survivantes de violences sexuelles.