Ce premier tour marque une radicalisation sans précédent de l’électorat de droite, qu’il demeure fidèle au sarkozysme ou qu’il lui préfère le Front national. La démocratie, que l’on peut sacrifier, est devenue leur variable d’ajustement. En face, de lourdes responsabilités pèseront sur les (…)
Si elle gagne, la gauche n’aura aucun droit à l’erreur
Par Agnès Rousseaux, Ivan du Roy