Le dimanche 24 mars 2024, 400 000 Argentin·es ont, comme chaque année, investi la Plaza de Mayo, place emblématique, témoin de moments cruciaux de l’histoire de l’Argentine ; iels ont exprimé leur indignation à l’égard du gouvernement du président Javier Milei qui cherche à minimiser l’héritage violent de la dictature et dont la politique en matière de droits humains est inquiétante.

Argentine : le gouvernement de Javier Milei représente une menace urgente pour les droits humains