A new stage in the evolution of the global justice movement was reached with the inauguration of the World Social Forum (WSF) in Porto Alegre, Brazil, in January 2001.
The WSF was the brainchild of social movements loosely associated with the Workers’ Party (PT) in Brazil. Strong support for (...)
Final Report of the International Civil Society and Parliamentary Peace Mission to Lebanon
At the height of the Israeli bombardment of Lebanon, a call came from civil society groups in that country asking the international community to send peace delegations to bear witness to the ongoing destruction of a nation and demonstrate solidarity with the Lebanese people in their hour of (...)
Entendu dans son sens littéral, en tant qu’adjectif, l’humanitaire, qui vise au bien être de l’humanité, prête peu à contestation. En tant que nom commun, défini comme l’ensemble des organisations humanitaires, il prête déjà à plus de discussions. Le mouvement humanitaire occupe une place (...)
The Special Rapporteur on the right to food, Jean Ziegler, submitted to the Human Rights Council a report on his mission to Lebanon, which took place from 11 to 16 September 2006. The mission was undertaken at the invitation of the Government of Lebanon.
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Les catastrophes naturelles et sociales telles que les guerres ont eu pour conséquences communes des dégâts infrastructurels massifs et de grandes dislocations sociales. Jusqu’à ces dernières années, les buts de l’aide et de la reconstruction étaient assez simples : aide matérielle immédiate (...)
50 Years is Enough, This article first apeared in the Journal of International Affairs, Spring/Summer 2006, vol. 59, no. 2.
Massive infrastructure damage and great social dislocation have been common consequences of natural disasters and social disasters like wars. Up until a few years ago, the aims of relief and reconstruction efforts were fairly simple: immediate physical relief of victims, reduction of social (...)
Thursday, 19 January 2006 (Revised version of a speech delivered at the Conference on Globalization, War, and Intervention sponsored by the International Physicians for the Prevention of Nuclear War, German Chapter, Frankfurt, Germany, January 14-15, 2006)
“Humanitarian intervention,” defined simply, is military action taken to prevent or terminate violations of human rights that is directed at and is carried without the consent of a sovereign government. While the main rationale for the invasion of Iraq by the United States was its alleged possession of weapons of mass destruction, an important supporting rationale was regime change for humanitarian reasons. When it became clear that there were in fact no WMD, the Bush administration retroactively justified its intervention on humanitarian grounds: getting rid of a repressive dictatorship and imposing democratic rule. The show trial of Saddam for human rights violations now taking place in Baghdad is part of this retroactive effort to legitimize the invasion.
An introduction guide to some of the major issues which will be battled out during the WTO meetings in Hong Kong this December. As well as suggesting ways disrupting the meetings and explaining why it feels this action is necessary, the guide also presents an idea of what the alternatives to the current make-up might be.
Focus on the Global South, 31 mai 2005, traduit par Gilbert Sanseau, Bertrand Declercq, Florence Piquemal
L’"Accord Cadre de Juillet" est le dernier clou enfoncé dans le cercueil de l’illusion que l’OMC puisse être réformée, que ce soit pas à pas ou de façon plus générale, dans le sens des intérêts des pays en développement. Plus que jamais, l’accord et ses conséquences prouvent que l’OMC est une cage en acier qui piège les pays en développement dans un jeu de négociations systématiquement truqué en faveur des grandes puissances commerciales du Nord.
Intervention au Conseil International des Forums sociaux, juin 2005
Le mouvement altermondialiste est confronté aujourd’hui au débat stratégique. Cette intervention aborde quelques unes des questions posées par ce débat.
Partons de l’état des lieux du mouvement. Notre mouvement est riche de sa diversité, de la multiplicité des courants de pensée qui le (...)
Vacarme, juin 2001, entretien réalisé par Stany Grelet et Isabelle Saint-Saëns
L’histoire du Cedetim, né entre 1965 et 1967 de la convergence de plusieurs groupes anti-colonialistes, rejoint celle des luttes contre les impérialismes menées tout au long de la seconde moitié du XXe siècle et qui perdure aujourd’hui encore. Des premières mobilisations pour l’Algérie et le Vietnam aux Forums sociaux mondiaux en passant par la lutte des foyers Sonacotra, cette histoire, ici racontée par l’un des fondateurs du Cedetim, est aussi celle des ratages de la décolonisation et des initiatives citoyennes pour un autre monde.
Officiellement, le Forum Social Mondial cherche à rassembler ceux qui s’opposent à la "globalisation néolibérale" et à l’"impérialisme sous toutes ses formes". Le Forum se veut un "espace ouvert" et non un mouvement. Ce principe très original est assez controversé parmi les participants du Forum même.
Novembre 2004, Marches européennes / Euromarches (www.euromarches.org)
La mondialisation néolibérale accentue les inégalités sociales et les exclusions au sein de chaque société mais aussi entre les Etats à l’échelle mondiale. S’y ajoute actuellement l’extension sans fin du marché mondial fondé sur la logique du profit et le modèle productiviste et la montée des idéologies sécuritaires.
Au cœur de ces phénomènes, on trouve les « Sans ». Sans abri, sans terre, sans travail, etc., ces sans droits ont autant besoin des forums sociaux (pour y parler, y revendiquer et y exister dans leur dimension politique) que les forums sociaux ont besoin des sans droits (pour réellement prétendre être des rassemblements populaires, pour éviter le glissement vers l’élitisme militant et la dégradation du dialogue en juxtaposition de slogans abstraits).
Les Nations Unies sont à la croisée des chemins. Elles n’ont pas vraiment démérité, elles n’ont pas du tout convaincu. Elles sont l’objet d’une immense attente, celle d’une institution qui assurerait la régulation d’un système international de plus en plus ressenti comme inique et dangereux, d’une défense possible des droits des faibles par rapport aux forts. Elles suscitent une immense déception, celle qui naît de l’illusion du droit par rapport à la réalité du pouvoir, de la velléité de solutions équitables ramenée en fin de compte au rôle d’une chambre d’enregistrement au service des puissances occidentales et des puissantes entreprises internationales. L’enjeu est considérable. Il s’agit de la construction d’un système international et d’instances politiques qui répondent à la globalisation des échanges économiques et à la primauté du marché mondial.
Le G8 est une tentative, engagée il y a trente ans, pour imposer une nouvelle « gouvernance mondiale » contrôlée directement par les chefs d’État et de gouvernement des pays les plus riches et les plus puissants de la planète. Cette manifestation d’un pouvoir oligarchique impliquait la marginalisation des Nations Unies.
Une première version de ce texte a été publiée par Le Monde Diplomatique en mai 2003 sous le titre : « Le G8, un club de riches très contesté » (http://www.monde-diplomatique.fr/20...).
Propos recueillis par Sandrine Chastang & Anne Marchand
Le débat sur la place des “Sans” (sans logement, sans revenu, sans terre...), leur participation et leur présence qu sein du Forum social mondial et de ceux à venir, aura été récurrente à Porto Alegre.
Débat croisé entre Gustave Massiah, président du Crid, et un “Sans”, Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de Droit au Logement [1].
Dossier « Peuplement et sortie de crise : enjeux majeurs de l’aide publique au développement », 5p.
« Il était essentiel que la société civile s’exprime sur les problèmes de développement. Un premier message indique que l’accessibilité des territoires et des services pour tous constitue un véritable enjeu pour asseoir le développement socioéconomique et la sécurité face à la montée des (...)
Un article s’intéressant principalement à deux questions majeures :
Quelles sont les caractéristiques spécifiques des Trente Glorieuses ?
Comment comprendre les trois éléments mis en avant par la plupart d’observateurs comme constitutifs de la mondialisation : les flux internationaux de (...)