Les États faillis sont devenus une réalité bien ancrée dans le paysage international. Compte tenu des sommes importantes investies dans leur reconstruction avec des contrôles insuffisants, il convient de s’interroger sur le « succès de leur faillite ».
L’Algérie vit un mouvement de protestation inédit dans son histoire. Depuis février 2019, des millions de citoyens ont investi les rues pour réclamer un changement en profondeur du pays.
Le nouveau rapport de l’AITEC est basé sur une enquête menée en 2017 auprès d’élu·es, d’agents territoriaux, et d’acteur·trices du monde associatif qui met en avant des politiques publiques locales alternatives, plus démocratiques, plus justes et plus durables, à rebours de la libéralisation des marchés, du tout-privé et d’une économie hors-sol.