Alors que les négociations intra-afghanes pour l’instauration d’un gouvernement incluant les talibans sont dans l’impasse et que les États-Unis ont annoncé leur retrait du pays pour le 11 septembre, la « question pachtoune » est remise sur la table.
Le Lac Tchad s’est considérablement asséché depuis le début des années 1970, jusqu’à faire à peine 2 000 km2, ce qui représente une diminution de plus de 90 % de sa surface.
Son assèchement contribue à perpétuer l’instabilité dans les pays de la région.
Le 29 février 2020, l’administration américaine et les talibans signaient un accord historique à Doha. Après dix-neuf ans de présence en Afghanistan, la guerre la plus longue des États-Unis prendra-t-elle fin ? Quatre mois plus tard, comment la situation a-t-elle évolué ?
Le traité de paix entre l’Éthiopie et l’Érythrée récompensé par le prix Nobel apporte-t-il la coopération entre les deux pays voulue il y a de cela un an ?
Pour la première fois, l’IFF (Institut de Formation du Football), a décidé de faire appel à une organisation non-violente afin de former des cadres du « ballon rond » (dirigeants, arbitres, entraîneurs…). L’objectif : réduire les actes de violence et les incivilités sur les terrains amateurs.
Obéissance ne veut pas dire soumission ! Lorsque ces règles sont injustes et que leur légitimité n’est plus acceptée, alors la non-violence invite à les contester, à s’y opposer dans un cadre légal, puis, en dernier recours, elle propose d’y désobéir pour montrer son désaccord et tenter de les changer.
L’Intervention civile de paix (ICP) est pratiquée dans de nombreux pays où il y a des conflits armés. De la Colombie au Népal, du Kosovo au Sri Lanka, des équipes internationales non-armées mais formées aux principes de la non-violence, agissent auprès des belligérants et des acteurs de paix locaux.