Dans le village de montagne Saint-Geniez, dans les Alpes-de-Haute-Provence, une conscience communale de la gestion des forêts s’est progressivement développée à travers la sélection de trois habitant·es garant·es du bon déroulement des coupes.
Dans la région de Oaxaca, au sud du Mexique, chaque mois de mars a lieu un festival organisé par le Conseil des peuples unis pour la défense du Río Verde. Ce mouvement de protection de l’eau a été formé en 2007 lorsque des dizaines de communautés autochtones se sont organisées pour empêcher la construction d’un barrage hydroélectrique.
À Rennes, comme dans une grande partie de la région bretonne, les conséquences de l’agriculture intensive sont néfastes, notamment en ce qui concerne les ressources en eau. Pour protéger au mieux cet « or bleu », la métropole française et la collectivité Eau du Bassin Rennais ont décidé de lancer un nouveau projet.
Différents acteurs réfléchissent à et avancent sur l’élaboration d’outils juridiques internationaux afin d’assurer une forme de justice intergénérationnelle. Charte, tribunaux dédiés et accords internationaux devraient assurer que nous léguerons un monde vivable pour les prochaines générations.
L’eau fait l’objet d’une gestion concertée qui peut suivre différents modèles. Ici, sont discutés les modèles français, espagnol et mexicain, plus ou moins privatisés et plus ou moins autonomes. Retour sur les enjeux de gestion de cette ressource de plus en plus critique.
L’extractivisme a réaffirmé le rôle des pays d’Afrique du Nord en tant qu’exportateurs de nature et fournisseurs de ressources naturelles, en consolidant leur intégration subordonnée dans l’économie capitaliste mondiale.
En Argentine, les organisations qui luttent pour l’accès à la terre et aux ressources naturelles font face à la criminalisation croissante de l’Etat et des entreprises privées. Ce sont les femmes qui sont en première ligne de ces résistances, et Lucia Ruiz nous raconte les stratégies de luttes collectives mises en place.