Alors que les négociations intra-afghanes pour l’instauration d’un gouvernement incluant les talibans sont dans l’impasse et que les États-Unis ont annoncé leur retrait du pays pour le 11 septembre, la « question pachtoune » est remise sur la table.
Les États faillis sont devenus une réalité bien ancrée dans le paysage international. Compte tenu des sommes importantes investies dans leur reconstruction avec des contrôles insuffisants, il convient de s’interroger sur le « succès de leur faillite ».
Cet article du NACLA propose un retour (important) sur les récentes mobilisations qui ont secoué la Colombie depuis le début de l’année 2019 ! Elles dénoncent le démantèlement des accords de paix de 2016 et le blocage de la Juridiction spéciale pour la paix.
En 2017, un rapport de la banque mondiale chiffrait à 350 milliards de dollars la reconstruction de la Syrie, incluant les pertes économiques à hauteur de 226 milliards de dollars, (environ 200 milliards d’euros). Le rapport inclut les infrastructures et les emplois. 27 % de l’habitat particulier a été détruit ainsi que la moitié des écoles et des centres médicaux. Comment envisager aujourd’hui la reconstruction du pays ? Le régime syrien s’y attèle depuis quelques années, mais avec des règles qui entament gravement les droits des Syrien·nes.