Ce dossier se veut un instantané de la résistance culturelle qui s’organise dans le pays, en réponse aux assauts culturels lancés par les partisan·es de l’Hindutva. Les exemples de résistance témoignent de la continuité de l’oppression et de la marginalisation que subissent certaines communautés depuis des années, et de leur soif de changement à travers la lutte.
Si une approche intersectionnelle en ECSI semble indispensable, comment la mettre en œuvre ? En choisissant des outils dont c’est la thématique centrale ? En adoptant une philosophie générale, inspirée des principes de l’animation démocratique, pour être attentif⋅ve aux différentes oppressions qui peuvent se manifester, et en créant un espace sûr où chaque personne se sente libre de s’exprimer ?
Entre l’occupation violente des lieux du pouvoir à Brasilia par les militant·es d’extrême-droite pro-Bolsonaro le 8 janvier ; l’installation d’une dictature civico-militaire au Pérou depuis début décembre ; la victoire électorale du fascisme en Italie... la démocratie paraît reculer partout, être en danger et ne pas tenir ses promesses d’égalité politique et de garantie des libertés. Plus que jamais, le n°23 de la collection Passerelle, ses analyses et ses débats, sont d’une brûlante actualité.
Mehdi Ben Barka a été l’un de ceux qui ont milité pour le changement des structures du Maroc au lendemain de l’indépendance avec la participation effective des masses populaires ; il a été l’un des leaders de cette génération de progressistes africain·es, des penseurs et penseuses combattant·es qui ont le mieux incarné les aspirations et les espoirs de leurs peuples.
Los feminismos expresan formas de luchas sociales y políticas complejas en constante evolución, que varían según su contexto geopolítico, que pueden ser militantes o institucionales, subversivas o más consensuales. Estas luchas son múltiples pero tienen en común la reivindicación de la igualdad y de la emancipación, la liberación de las dependencias y de los estereotipos, y la ruptura con las relaciones de dominación.
Ce dossier se propose de faire connaître et partager l’expérience et les apprentissages de la Fundacion Plurales et des Groupes de Femmes Défenseuses de l’Environnement (GPA, de son sigle en espagnol) de la région du Chaco Américain, en lien avec la gouvernance des ressources naturelles, principalement de l’accès à l’eau et à la terre, depuis une perspective d’équité de genre.
Con el presente Dossier buscamos compartir la experiencia y lecciones aprendidas de Fundación Plurales y Grupos de Mujeres Defensoras Ambientales (GDAs) en relación a la gobernanza de los recursos naturales, principalmente en el acceso al agua y la tierra, con equidad de género.
Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars, ritimo vous propose de (re)découvrir le dossier sur les féminismes. Au Nord comme au Sud, à l’Est ou à l’Ouest de la planète, des mouvements féministes se mobilisent contre d’autres formes d’oppression ou d’aliénation que la seule inégalité entre les sexes, participant ainsi à remettre fondamentalement en question l’ordre établi.
Dans la foulée du mouvement #BlackLivesMatter (BLM) et à l’opposé d’une sacro-sainte règle déontologique de neutralité et d’objectivité des faits, une vague de journalistes nord-américains - afro-américains, amérindiens, autochtones, d’origine asiatique - réclament une modification des normes et pratiques journalistiques et revendiquent de favoriser une couverture activiste et engagée.
Alors qu’à l’échelle nationale, les manifestations exigent la démission du président et du Congrès, de nombreuses organisations ont une exigence encore plus importante : la transformation des fondements violents de la démocratie guatémaltèque.
Si les mouvements de protestation anti-monarchie et anti-gouvernement en Thaïlande sont apparus à la suite des récents abus, ils reposent sur une infrastructure politique qui s’est constituée sur plusieurs années.
« Gesturing Towards Decolonial Futures » (GTDF) est un collectif de chercheur·ses, d’artistes, d’éducateur·rices, de militant·es et de gardien·nes des savoirs autochtones provenant du Nord et du Sud. Ce collectif lance une discussion autour du fait que, pour beaucoup de peuples autochtones, l’effondrement du système actuel n’est pas forcément une mauvaise nouvelle.