Coordonné par des membres du Forum mondial des médias libres provenant de trois pays (Brésil, Canada, France), ce dossier analyse les défis des médias libres partout dans le monde. Il propose également différentes propositions et alternatives face à ces défis.
Ce numéro de la collection passerelle, publié en 2014, présente de nouvelles formes de conception de l’information en tant que bien commun, afin de lutter contre sa marchandisation par le pouvoir économique, ainsi que des exemples concrets d’un Internet libre, décentralisé et neutre, créé et porté par les utilisateurs eux-mêmes.
Du 24 mars au 30 mars 2013, le Forum Mondial des Médias Libres (FMML) a rassemblé à Tunis des blogueurs, des journalistes, des associations, des développeurs, des hackers.
Ritimo propose un dossier sur les médias citoyens, libres, alternatifs à travers le monde, pour préparer le 3e Forum mondial des médias libres à Tunis, du 24 au 30 mars 2013...
L’information et la communication ont rarement occupé une place centrale au sein des Forums sociaux. A Dakar, des mouvements sociaux de communication de tous les continents ont décidé de sortir de l’ombre en organisant un séminaire sur les médias citoyens. Les dix organisations participantes ont partagé leurs analyses sur la nécessité et les enjeux d’une information alternative en la plaçant au cœur des mobilisations politiques et sociales.
Au Parlement européen, les partis d’extrême droite sont nombreux et se partagent en deux groupes. Pas toujours d’accord entre eux, ils se retrouvent sur quelques sujets (écologie, droit des femmes, médias). Basta ! analyse leurs propositions.
Depuis le coup d’État de novembre 2017, sous la direction du Président Emmerson Mnangagwa, l’espace civique du pays se rétrécit à la fois en ligne et hors ligne alors que le régime emploie une série de mesures légales et extra-légales pour contrecarrer la dissidence.
Le gouvernement chinois soutient les initiatives Smart City par le biais d’échanges technologiques directs avec le Zimbabwe...
Cet article raconte l’histoire de divers musiciens à travers le continent africain dont la musique a été jugée trop politique et explore pourquoi leurs œuvres ont été considérées très « dangereuses » par leurs gouvernements.
Dans certains pays, les initiatives législatives utilisant les termes « fake news » et « désinformation » deviennent des instruments de surveillance, de réduction au silence des voix et de lutte contre la dissidence.
Le journalisme co-construit est le type de journalisme participatif qui pousse le plus loin la collaboration entre un ou une journaliste et des non-professionnel·les de l’information. Ce procédé permet, entre autres, de faire émerger de nouvelles thématiques grâce aux expertises des publics.
La dissolution de l’ONG Mémorial fin décembre est d’une extrême gravité et annonce des jours bien sombres pour la société civile russe. Spécialiste de la Russie post-soviétique, Anne Le Huérou nous rappelle l’importance des combats menés par Mémorial.
Partageant ses réflexions autour de son expérience dans le média indépendant Kaja Negra, une journaliste mexicaine revient sur les bases oppressives de nos médias. Son aspiration : réimaginer.
Ils ont vécu les premières heures du soulèvement en Syrie, puis l’horreur de la guerre et la douleur de l’exil. Aujourd’hui réfugiés en Espagne, quatre Syriens se sont lancés dans une aventure singulière : créer un média indépendant, afin de raconter la vie de celles et ceux qui n’ont que trop peu souvent voix au chapitre.
À travers toute l’Afrique, des gouvernements et des acteurs politiques non gouvernementaux ont déployé à plusieurs reprises des tactiques pour interférer avec les droits des utilisateurs à la liberté d’expression et à l’accès à l’information en ligne, en particulier lors d’événements de grande importance politique.
Le journal Boca de Rua a été créé il y a 19 ans à Porto Alegre, au Brésil. Il est entièrement réalisé par des gens de la rue ou des personnes socialement vulnérables. Il vient du désir d’un groupe de journalistes de voir ces personnes parler d’elles-mêmes, au lieu d’être seulement présentées comme des victimes ou stigmatisées par la misère.