Les autorités tanzaniennes devraient abroger les lois répressives et enquêter sur les abus commis contre des activistes, des détracteurs du gouvernement et des opposants.
Cet article revient sur les atteintes à la liberté d’informer et d’être informé·es que connaissent actuellement les Vénézuélien·nes, en corrélation avec la crise politique que vit le pays : blocages intermittents sur différentes plateformes de médias sociaux, censure de la presse, projet de loi sur la cybersécurité menaçant les droits numériques, etc.
L’Asie du Sud-Est est en proie à une détérioration rapide des libertés de la presse et d’expression. D’après le rapport Freedom in the World 2018 de l’organisation à but non lucratif Freedom House, sept des huit pays d’Asie du Sud-Est ont connu une régression en matière de libertés civiles au cours de l’année dernière.
L’ONG Reporters Sans Frontières a divulgué le 5 novembre dernier la “Déclaration internationale sur l’information et la démocratie”, qui pose les garanties démocratiques dans l’espace global de l’information et de la communication.
Les agressions, les intimidations et les attaques contre les journalistes et les organes de presse n’ont rien de nouveau en Inde. Les journalistes indépendants, les femmes et les personnes travaillant dans les zones rurales sont beaucoup plus exposées aux intimidations et aux interférences avec leur travail.
Alors que le Brésil vient d’élire à sa tête le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro, il est intéressant de se tourner vers la série de reportage dédiée à la Mémoire de la presse alternative du Brésil qui retrace la lutte politique de la presse au cours de la dictature militaire de 1964 à 1989.
Les autorités égyptiennes ont fait adopter une nouvelle loi sur les médias qui aboutit à supprimer totalement toute liberté d’information. Avant même d’être adoptée, cette loi était déjà appliquée. Qualifiée par ses opposants de « loi de la mise à mort de la presse », elle contient plusieurs dispositions qui entravent le travail journalistique.