Qui pourrait croire de nos jours que la baie de New York a fait partie des environnements les plus sains de la planète avec une biodiversité foisonnante ? Pollution et surexploitation en ont fait un endroit peu attractif et dont personne n’oserait manger les fruits de la pêche.
L’expérience à laquelle sont confrontés les peuples aborigènes face à ces méga-feux dévorant de grands pans de l’Australie est bel et bien différente de celle que connaissent les peuples non-indigènes.
Le premier Tribunal international des droits de la nature, présidé par Vandana Shiva et réunissant plus de 60 leaders mondiaux, s’est tenu en janvier 2014, pendant le Global Rights of Nature Summit à Quito (Équateur). Depuis, ce tribunal populaire est régulièrement reconduit en marge des COP climat.
Wangari Maathai, professeure en médecine vétérinaire, biologiste et militante, fonde le mouvement de la ceinture verte, the Green Belt Movement, sous l’égide du Conseil national des femmes du Kenya (NCWK), en 1977. Ce mouvement lutte ainsi contre la déforestation et la dégradation de l’environnement.
Les millions de tonnes de sacs, bouteilles, jouets, préservatifs, canards en caoutchouc jetés et de nombreux autres objets en plastiques qui sont déversés dans les océans du monde ont un impact mondial phénoménal sur l’ensemble du système écologique, coûtant des milliards de dollars de pertes de chiffre d’affaires.
En 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mars Journée internationale des forêts. L’objectif : sensibiliser à l’importance des forêts.
Le WRM a quelques points sur lesquels la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) devrait réfléchir.