Les plantations de palmier à huile constituent une cause principale de la déforestation dans le sud-est du Mexique. Guadalupe Núñez Salazar est coordinatrice d’un Réseau de femmes de la côte en rébellion, un regroupement d’environ 80 femmes provenant de diverses communautés des municipalités côtières du Chiapas pour défendre leurs terres et leurs territoires.
Le Brésil et l’Indonésie partagent une similitude particulière : à un moment donné, leurs dirigeants ont décidé de construire une nouvelle capitale. Alors que les dirigeants brésiliens ont construit Brasilia il y a environ 60 ans, la construction de la nouvelle capitale indonésienne est en cours. Les deux projets renforcent un État colonial, même si leurs promoteurs prétendent le contraire.
Dans la foulée de la COP26, et soucieuse de corriger son statut de second « importateur mondial de déforestation » après la Chine, l’Union européenne a décidé le [17 novembre 2021 de muscler son Green Deal pour rendre le vieux continent climatiquement neutre en 2050. Pour le moment, la liste des produits que l’UE ne fera plus venir est assez courte, mais lourde de conséquences, et cette mesure n’a fait sourire personne dans les pays directement visés d’Afrique de l’Ouest.
Une enquête montre qu’il est nécessaire de prendre des mesures urgentes pour sauver 80 % de l’Amazonie d’ici à 2025. Déjà 20 % de ce territoire ont été transformés en totalité, 6% montre une importante dégradation et ont besoin d’une restauration, pendant que 33 % sont intacts et 41 % ont de faibles niveaux de dégradation qui ont besoin de protection.
Una investigación presentada por la Red Amazónica de Información Socioambiental Georreferenciada (Raisg) evidencia que es necesario tomar medidas urgentes para salvar el 80% de la Amazonía al 2025. El 20% de este territorio ya ha sido transformado en su totalidad, el 6% tiene una alta degradación y necesita restauración, mientras un 33% está intacto y 41% con bajos niveles de degradación que requieren protección. El análisis revela, además, que el reconocimiento de territorios indígenas ha sido trascendental para la Amazonía: solo el 4% de las hectáreas que pertenecen a estos ha sufrido transformaciones, a comparación del 33% afectado en lugares sin ese reconocimiento ni consideradas áreas protegidas
Le programme café et cacao agroforestiers en Amazonie vise à restaurer l’équilibre écologique des zones d’intervention, à soutenir les familles de producteur·rices péruvien·nes investi·es dans les projets de terrain et à renforcer la durabilité des filières de café et cacao. Il se fonde sur le développement de modèles agroforestiers à travers la plantation de variétés d’arbres natifs de bois d’œuvre, de fruitiers et d’auxiliaires sur des parcelles de cacao, de café ou d’espaces dégradés par l’agriculture.
2 400 hectares, c’est la taille de la traînée de destruction laissée par l’exploitation aurifère illégale en Terre Indigène Yanomami (TIY), située à l’extrême Nord du Brésil entre les États de Roraima et d’Amazonas. Les activités illégales prolifèrent, se rapprochant toujours plus des communautés autochtones et mettant en danger les groupes isolés. Telle est la conclusion d’un rapport inédit publié par l’Association Yanomami Hutukara (HAY) et l’Association Ye’kwana Wanasseduume (Seduume) qui représentent les peuples autochtones de ce territoire.
« L’affaire » Casino montre les conséquences de la production de viande sur la forêt amazonienne et ses habitants. C’est en documentant la déforestation en Amazonie, mais aussi l’esclavage moderne et l’expulsion de peuples autochtones que les enquêteurs sont remontés jusqu’au groupe Casino.
Les Ogiek étaient les gardiens de la forêt de Mau bien avant l’avènement de l’État kenyan. Des vagues successives d’accaparements et d’expulsions ont, toutefois, marginalisé et spolié les Ogiek de l’accès à la terre, alors que la forêt a été dégradée par la surexploitation et l’agriculture.
En Indonésie, deuxième pourvoyeur mondial de caoutchouc, la monoculture d’hévéa est présentée comme respectueuse de l’environnement et des producteurs locaux. L’arrestation récente d’un syndicaliste paysan témoigne d’une autre réalité...