L’éducation populaire a le potentiel d’impulser des dynamiques de transformation sociale et écologique. Mais si l’ECSI est peu habituée à l’animation de rue, comment agir et déployer ce potentiel auprès d’un large public, qu’il reste à convaincre ?
Ce dossier se propose de faire connaître et partager l’expérience et les apprentissages de la Fundacion Plurales et des Groupes de Femmes Défenseuses de l’Environnement (GPA, de son sigle en espagnol) de la région du Chaco Américain, en lien avec la gouvernance des ressources naturelles, principalement de l’accès à l’eau et à la terre, depuis une perspective d’équité de genre.
Con el presente Dossier buscamos compartir la experiencia y lecciones aprendidas de Fundación Plurales y Grupos de Mujeres Defensoras Ambientales (GDAs) en relación a la gobernanza de los recursos naturales, principalmente en el acceso al agua y la tierra, con equidad de género.
Irrintzina est un cri d’alarme sur l’effondrement de notre monde mais c’est aussi un cri de joie poussé par des centaines de militant·es déterminé·es qui ont réalisé que si, ensemble, elles·ils ne faisaient rien, personne ne le ferait à leur place. Inventaire des outils pouvant accompagner l’utilisation du film Irrintzina.
À travers ce dossier sur les pollutions et les solutions en mer Méditerranée, l’équipe du média 15-38 Méditerranée, basée dans les pays du pourtour méditerranéen s’est interrogée sur ce qu’elle considère comme étant sources de pollution pour la mer Méditerranée, ces dernières sont diverses, tout comme leurs effets.
Comment préserver les équilibres fragiles de la planète et contenir le réchauffement global des températures d’une part, et d’autre part celui d’assurer la subsistance et une vie digne de ce nom à toute la population mondiale ? Car, restaurer ou inventer une nouvelle culture et une nouvelle gestion de l’eau (et, de manière inséparable, de la terre) peut à l’inverse nous permettre de répondre aux impératifs écologiques tout en nous assurant une « vie bonne », aussi bien dans les grandes métropoles que dans les régions rurales, au Nord et au Sud de la planète.
Ce dossier a été coordonné par Sophie Chapelle, journaliste à Basta !, un média indépendant centré sur l’actualité économique, sociale et environnementale. Il rassemble 10 articles qui se penchent sur les causes des dérèglements climatiques, enquêtent sur les fausses solutions et analysent les véritables alternatives pour y faire face.
La 21e Conférence internationale sur le climat vient de s’achever à Paris avec la signature d’un accord salué comme « historique ». À travers ce nouveau traité, la communauté internationale affiche des objectifs relativement ambitieux, quoique très généraux – et il en dit très peu sur les moyens concrets d’atteindre ces objectifs.
Wangari Maathai, professeure en médecine vétérinaire, biologiste et militante, fonde le mouvement de la ceinture verte, the Green Belt Movement, sous l’égide du Conseil national des femmes du Kenya (NCWK), en 1977. Ce mouvement lutte ainsi contre la déforestation et la dégradation de l’environnement.
Le changement climatique fait déjà sentir ses effets et menace la vie de nombreuses populations dans le monde (sécheresses, ouragans, montée des eaux…). Face à cela, des citoyen·nes se mobilisent et saisissent les juges pour faire valoir leur droit à un environnement sain.
Aussi étrange que cela puisse paraître, il semblerait que certain·es se réjouissent de la crise climatique actuelle : c’est leur chance de faire de l’argent. Le changement, les perturbations et la rareté constituent la face cachée du capitalisme, car elles ouvrent une voie vers le profit pour tous ceux qui spéculent sur ses conséquences.
A l’heure où l’Amazonie se trouve menacée par des discours politiques qui remettent en question les preuves scientifiques du réchauffement climatique, 27 médias d’Amérique latine signent cette tribune qui renouvelle un engagement à en approfondir ses impacts et ses défis.
Un peu partout, des citoyens, des associations, mais aussi des villes optent pour la voie juridique dans le but de faire pression sur leurs gouvernements mais aussi les grands groupes, au nom de la justice climatique et du respect de l’environnement.
Garantir un avenir plus durable pour tous représente un engagement colossal, y compris pour les économies les plus avancées. À quoi ressemblera cette transition dans les pays du Sud, en première ligne du changement climatique et dépourvus des institutions et mécanismes capables de garantir des politiques d’atténuation et d’adaptation adéquates ?
Réunis pour deux jours en Argentine, les chefs d’Etat ou de gouvernement des vingt pays les plus puissants de la planète sont mis à l’index. A quelques jours de la COP24, les plus grands criminels du climat sont donc connus : ils sont au G20. Et ils sont réunis à Buenos Aires.
Aucun scientifique ne peut le réfuter, nous approchons dangereusement de nos limites. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU affirme qu’il ne nous reste que douze ans pour éviter que la planète ne se réchauffe au-delà de 1,5 °C et que nous avons besoin de "changements rapides, de grande envergure et sans précédent".
Si le lien entre notre système économique et la destruction de l’environnement est devenu évident, peu de personnes font le lien avec le militarisme et la sécurité. Avec l’accroîssement à venir de l’instabilité et l’insécurité, examinons le rôle de l’armée dans un monde soumis au changement climatique.
Deux jours pour aborder les questions environnementales de manière systémique, pour rendre visibles chaque enjeu et acteurice de la thématique mais aussi donner à comprendre les liens entre (…)