Depuis la Déclaration de l’Assemblée Générale de l’ONU proclamant le droit universel à l’eau potable et à l’assainissement (28 juillet 2010), les pays occidentalisés ont adopté deux stratégies visant, à rétablir « l’ordre des choses ». La stratégie de l’oubli et la stratégie de l’abandon de la conception du droit universel à l’eau et son remplacement par la conception capitaliste marchande de l’accès à l’eau à prix abordable.