Depuis sa création, La Cimade s’engage pour l’accès à la langue et à la culture française pour toutes et tous comme droit fondamental, essentiel pour l’intégration des personnes exilées.
Pendant des décennies, des milliers d’enfants amérindiens et noirs-marrons ont vécu d’innombrables violences coloniales dans les pensionnats catholiques de ce territoire colonisé par la France. Ces internats avaient pour objectif d’assimiler et d’évangéliser ces enfants autochtones entre les années 1930 et les années 1980, sous prétexte de leur assurer un accès à l’éducation.
Le documentaire long-métrage intitulé “J’apprends si je comprends”, réalisé par Solidarité Laïque, vise à mieux appréhender ce qui se passe dans les classes bilingues.
La Ligue des droits de l’Homme (LDH), le Réseau éducation sans frontières (RESF), la Fédération des associations de solidarité avec tout·tes les immigré·es (Fasti) ou encore le Groupe d’information et soutien des immigré·es (Gisti), œuvrent pour défendre l’effectivité des droits à l’éducation et faire cesser les pratiques discriminatoires, en France métropolitaine comme en outre-mer.
Vous connaissiez les bibliobus, mais savez-vous qu’il existe des biblio…dromadaires ? Ces bibliothèques mobiles pas comme les autres ont vu le jour au Baloutchistan, immense région défavorisée du Pakistan. Dans cette région où l’accès à l’éducation est un enjeu de taille, les jeunes lecteurs et lectrices attendent chaque visite des dromadaires-bibliothèques avec impatience pour pouvoir emprunter de nouvelles histoires pleines d’espoir et de rêves.
En 2018, l’association Enfants d’Asie a lancé un projet pilote pour permettre à des jeunes Laotien·nes d’origine ethnique khmu de terminale de suivre des études à Vientiane, la capitale. Les élèves poursuivent leurs études supérieures dans différentes filières (ébénisterie, couture, mécanique, informatique).
« Réconcilier les enfants avec la lecture, y compris ceux et celles qui sont en difficulté et renforcer leur confiance en eux et elles », c’est le pari de la maison d’édition La fée des mots.
Le collectif Free Women writers composé d’autrices, d’étudiantes et de militantes afghanes, a pour objectif de promouvoir l’égalité, l’éducation et la justice sociale dans ce pays si méconnu.