Depuis le coup d’État de novembre 2017, sous la direction du Président Emmerson Mnangagwa, l’espace civique du pays se rétrécit à la fois en ligne et hors ligne alors que le régime emploie une série de mesures légales et extra-légales pour contrecarrer la dissidence.
Le gouvernement chinois soutient les initiatives Smart City par le biais d’échanges technologiques directs avec le Zimbabwe...
Le gouvernement zimbabwéen a pour la première fois adopté une politique nationale en matière de migration de la main-d’œuvre. Le Zimbabwe étant un pays d’origine, de transit et de destination, cette politique veut promouvoir une bonne gouvernance en matière de migrations de main-d’œuvre, pour garantir que tous les travailleurs migrants soient protégés et que la migration profite à la fois aux communautés d’origine et d’accueil.
À travers toute l’Afrique, des gouvernements et des acteurs politiques non gouvernementaux ont déployé à plusieurs reprises des tactiques pour interférer avec les droits des utilisateurs à la liberté d’expression et à l’accès à l’information en ligne, en particulier lors d’événements de grande importance politique.
Malgré la variété de trajectoires nationales qui limite la pertinence de toute entreprise de généralisation, depuis une dizaine d’années, la démocratie ne semble plus progresser sur le continent africain. En considérant la démocratie au-delà de l’approche réductive et classique des élections, force est de constater que l’autoritarisme gagne du terrain.
Lorsque Munashe Chirowamari a quitté son domicile le 11 octobre 2018 pour participer avec des collègues syndicalistes à une manifestation organisée par le Congrès des syndicats du Zimbabwe contre la dégradation de la situation économique qui ne cesse de s’aggraver dans le pays, il était loin d’imaginer que l’État ne reconnaîtrait pas son droit de manifester.