Les projets Tilenga et EACOP, développés par Total en Ouganda et en Tanzanie, sont devenus emblématiques en raison de l’ampleur des violations des droits humains qu’ils causent, ainsi que des risques de dommages irréversibles pour l’environnement et le climat.
Cet article raconte l’histoire de divers musiciens à travers le continent africain dont la musique a été jugée trop politique et explore pourquoi leurs œuvres ont été considérées très « dangereuses » par leurs gouvernements.
À travers toute l’Afrique, des gouvernements et des acteurs politiques non gouvernementaux ont déployé à plusieurs reprises des tactiques pour interférer avec les droits des utilisateurs à la liberté d’expression et à l’accès à l’information en ligne, en particulier lors d’événements de grande importance politique.