Les autorités tanzaniennes devraient abroger les lois répressives et enquêter sur les abus commis contre des activistes, des détracteurs du gouvernement et des opposants.
Au cours des quatre-vingts dernières années, les Maasaï ont été déplacés et spoliés de leur terre et de leurs moyens d’existence dans le nord de la Tanzanie, tout cela sous couvert de « conservation ».