Depuis la production de la première culture OGM en 1983, ces cultures ont soulevé d’importantes préoccupations environnementales et sanitaires.
S’il est clair que l’insécurité alimentaire menace la vie de millions de Kényan·es, la levée de l’interdiction des OGM n’est pas la solution.
Face à l’appropriation du vivant par les semenciers via les droits de propriété industrielle, des associations proposent de mettre à disposition de tous des « semences libres ». D’autres proposent des « semences en open source », librement reproductibles. Utopie ou véritable alternative à la confiscation du vivant ?
La crise climatique - et plus largement la crise environnementale - que nous traversons est générée par des modes de production et de consommation insoutenables. Le recours massif aux intrants de synthèse (pesticides et engrais) ainsi qu’à la biotechnologie (comme les OGM) sont des emblèmes de l’industrialisation de l’agriculture.
Los cultivadores de tabaco argentinos de bajos ingresos se enfrentan a tasas de cáncer que se disparan con consecuencias más devastadoras que afectan a sus hijos: deformidades físicas graves y discapacidades mentales.
Depuis 2004, l’utilisation des cultures biofortifiées a progressé dans de nombreux pays en développement, au détriment de la capacité des populations à renforcer leurs systèmes alimentaires locaux.