Le Lac Tchad s’est considérablement asséché depuis le début des années 1970, jusqu’à faire à peine 2 000 km2, ce qui représente une diminution de plus de 90 % de sa surface.
Son assèchement contribue à perpétuer l’instabilité dans les pays de la région.
Depuis le début de l’année 2018, le mouvement Tournons La Page constate une remise en cause de l’exercice de certains droits péremptoirement consacrés par le Pacte International relatif aux droits civils et politiques ainsi que la Constitution du 25 novembre 2010 du Niger.