La première conférence panafricaine de solidarité avec la Palestine s’est réunie début mars 2022 à à Dakar. Le député Zwelivelile, petit fils de Nelson Mandela y a dénoncé l’influence grandissante d’Israël en Afrique.
L’Algérie a décidé de rompre ses relations diplomatiques avec le Maroc. Ce n’est que le dernier épisode d’une longue crise de confiance entre les deux pays, qui remonte aux années 1960 mais qui s’est approfondie avec le conflit au Sahara occidental.
Jérusalem a été au centre des mobilisations des palestinien·nes ces dernières semaines. Au cœur d’une campagne de transfert forcé de la population palestinienne de la ville et d’une réécriture de la mémoire et de l’histoire, ce sont les palestinien·nes qui se sont organisé·es pour dénoncer la politique israélienne d’apartheid, d’occupation et de colonisation de la Palestine.
En Israël, les Bédouines sont à la fois marginalisées au sein de la société, en tant qu’Arabes, mais aussi au sein de leur propre communauté, en tant que femmes. Victimes des traditions et de violences conjugales, les avocates de l’association Itach-Ma’aki les aident à défendre leurs droits.
Des années de colonisations, de violations de ses droits et d’humiliations amènent le peuple palestinien à exprimer sa colère une nouvelle fois. L’absence de solution politique ou diplomatique ne fait qu’accentuer les frustrations et les tensions.
Après avoir confirmé sa compétence le 5 février 2021, la CPI a annoncé le 3 mars l’ouverture d’une enquête formelle sur les crimes commis dans les territoires palestiniens. C’est une victoire pour le droit international, même si on est encore loin d’un procès.
La Nakba n’est pas seulement comme un événement historique, ni comme un lieu dans la mémoire collective du peuple palestinien : c’est une réalité quotidienne qui reste présente dans la vie de la population palestinienne.