« Nous demandons que les travailleurs licenciés soient réintégrés et que stoppent les attaques contre les syndicats »
Au cœur du mouvement en faveur de réformes démocratiques et de justice sociale du 14 février qui a suscité une répression sanglante des autorités [1], la centrale syndicale bahreïnie GFBTU [2] a fait l’objet de très violentes attaques. Ebrahim H. Abdulla ,secrétaire général adjoint de la GFBTU, et Abdulla Mohammed Hussain, assistant secrétaire général pour les relations arabes et internationales, reviennent sur ces attaques antisyndicales et sur les licenciements massifs [3], deux questions que la GFBTU veut inscrire à l’agenda du dialogue national qui vient de s’ouvrir le 1er juillet.