En Amérique centrale, s’attaquer aux causes profondes de la migration exige de revenir sur la politique extérieure destructrice des États-Unis, afin de mettre en place une forme de développement redistributif et soutenable écologiquement.
La mort de George Floyd à Minneapolis a choqué le monde entier et suscité une profonde indignation et des manifestations de protestation véhémentes. Cet événement remet en lumière les profondes divisions raciales qui continuent de fracturer le pays. Poids du passé esclavagiste et ségrégationniste, impunité policière, discours agressifs du président Trump...
Les jeux de guerre tels qu’on les connaît aujourd’hui ont depuis toujours entretenu une certaine confusion entre fiction ultra-patriotique et réalisme violent emprunté à l’univers du cinéma. La réaction du public a quant à elle généralement oscillé entre ventes records et indignation catégorique.
Le Groupe WH et les autres grandes entreprises de transformation de la viande ont imposé à la planète un modèle de production de viande qui nous rend tous malades. Leurs exploitations et leurs chaînes de production constituent des lieux de reproduction et des vecteurs parfaits pour les pathogènes pandémiques.
L’annonce entre en contradiction avec la Convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre, qui interdit à une armée d’occupation d’implanter des colons dans le territoire concerné.
Des politiques anti-immigration et la militarisation de la frontière entre les États-Unis et le Mexique sont déterminantes pour maintenir une main-d’œuvre bon marché, qui ne cesse de croître, dans les villes frontalières du nord du Mexique.
Cet article relate l’histoire de la perte et du vol, encadré par la loi, des terres du Sud des Etats-Unis ; une histoire devenue une partie structurante de l’histoire des États-Unis. Au cours du dernier siècle, plus de 12 millions d’hectares agricoles appartenant à des personnes noires sont passés aux mains de personnes blanches.
Aux Etats-Unis, les grandes entreprises pénitentiaires privées risquent de perdre 72 % de leurs financements privés car les principales banques états-uniennes se sont engagées à se retirer du système carcéral privé, sous la pression de militants.