Après la période du backlash antiféministe, la cause des femmes, désormais revendiquée de l’extrême gauche jusqu’au palais de l’Élysée, est enfin devenue légitime dans la France des années 2000. Non sans ambiguïtés. L’hypocrisie des grandes déclarations, en particulier masculines, en faveur des femmes et l’instrumentalisation de la question féministe ont déjà été critiquées [1]. Il convient aujourd’hui d’en faire le bilan. Lire
Bilan d’un féminisme d’État
Plein droit, 75, décembre 2007, Sylvie Tissot